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عنوان انگلیسی مقاله ISI
Blood donation and/or donated blood acceptance: The different stakeholders’ ethical considerations
ترجمه فارسی عنوان
اهدای خون و/یا پذیرش خون اهدایی: ملاحظات اخلاقی ذینفعان مختلف
موضوعات مرتبط
علوم پزشکی و سلامت پزشکی و دندانپزشکی مراقبت های ویژه و مراقبتهای ویژه پزشکی
چکیده انگلیسی

SummaryTransfusion relies on blood donation that is on donors. Donors are essentially voluntary non-remunerated individuals acting altruistically and anonymously to help sick and vulnerable patients. While voluntariness is generally considered as a cornerstone of ethics of blood donation, and thus considered as essential, it is no longer enough as the donated blood must not cause harm (or must not cause disease) (with special mention to blood borne infectious pathogens). This novel paradigm has completely rebooted the sense of altruism in the field of blood donation, as a new equilibrium has to be reached. On whom is the burden of a harmful gift? Is it on the blood establishment, which has accepted it, or is it on the blood donor who has not refrained from donating? As the principle of a zero risk blood supply has slightly moved from the precautionary principle to the reality principle, blood donor deferral is most usually accepted and considered as a guarantee of quality and safety of the blood supply chain for transfusion medicine, apart from a couple of exceptional policies (or criteria). Among these is the deferral, or the former deferral—depending on the country—of men having sex with other men. This essay makes an attempt to revisit the general principles of ethics in blood donation, and to focus on the acceptance/refusal of blood donation candidacy; different stakeholders’ viewpoints will thus be considered.

RésuméLa transfusion sanguine dépend de dons de sang et donc de donneurs. Ces donneurs sont essentiellement des volontaires bénévoles, anonymes et non rémunérés, dont la motivation est d’aider les plus faibles et les malades. Bien que le volontariat soit en général considéré comme la pierre angulaire du don bénévole et de l’éthique associée au don de sang, et donc qu’il soit reconnu comme essentiel, il ne suffit pas puisque le sang donné (offert) doit l’être sans qu’il porte de défaut ou de caractère vicié, comme par exemple une infection transmissible. Ce paradigme — né après les affaires dites du sang contaminé — a complètement modifié la primauté de l’altruisme pour satisfaire un autre type d’équilibre. Qui doit porter par exemple la faute d’un sang vicié ? Est-ce sur l’établissement de transfusion qui en a accepté le don, ou sur le candidat au don qui n’a pas su s’interdire de donner ? Aucun don de sang ne saurait être totalement dénué de risque pour le receveur ; cela étant, principes de et de réalité s’intriquent pour limiter les situations considérées comme « à risque ». En général, on considère que l’ajournement au don de candidats jugés « à risque » est première pour garantir la qualité et la sécurité de la composante « don » de la chaîne transfusionnelle ; ceci fonctionne à quelques exceptions près. Une exception notable est la fin de précaution pour le risque lié aux relations sexuelles entre hommes ; cette fin d’ajournement tend en effet à diffuser pays à pays, avec une réévaluation nouvelle des risques induits. Cet essai tente de revisiter les grands principes éthiques du don de sang, de prendre en considération non seulement l’ajournement au don mais la non-acceptation de la candidature au don, ce qui est différent ; des points de vue, parfois contradictoires, des différentes parties prenantes seront évoqués sur ce sujet.

ناشر
Database: Elsevier - ScienceDirect (ساینس دایرکت)
Journal: Ethics, Medicine and Public Health - Volume 2, Issue 2, April–June 2016, Pages 213–219
نویسندگان
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