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Original article/Article originalHigh incidence of obstructive sleep apnea syndrome in patients with late-onset epilepsyIncidence élevée du syndrome d'apnées obstructives du sommeil chez les patients avec épilepsie de survenue tardive
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Original article/Article originalHigh incidence of obstructive sleep apnea syndrome in patients with late-onset epilepsyIncidence élevée du syndrome d'apnées obstructives du sommeil chez les patients avec épilepsie de survenue tardive
چکیده انگلیسی

SummaryObjectivesThe objective of the present study was to evaluate the prevalence of obstructive sleep apnea (OSA) in patients with late-onset epilepsy (LOE) who were considered at higher risk of cardiovascular disease.MethodsPolysomnography was performed on 27 patients with LOE. Berlin questionnaires and Epworth sleepiness score were performed on all patients. We compared clinical, demographic and anthropometric characteristics, questionnaire scores on the patients with no or mild OSA (group 1) and the patients with moderate or severe OSA (group 2). Patients eligible for continuous positive airway pressure (CPAP) therapy were reviewed in consultation.ResultsTwenty-four patients (88.9%) had OSA and 55.6% had moderate or severe OSA. Patients in group 2 (n = 15) were older than patients in group 1 (n = 12). The two groups were similar in terms of body mass index (BMI), neck circumference, nocturnal seizure frequency, vascular cardiovascular risk factors and excessive daytime sleepiness. Leukoaraiosis in MRI was highly prevalent in our patients (40.7%), especially in group 2 patients. Eighty percent of the patients who had begun CPAP therapy experienced decreased seizure frequency.ConclusionPatients with LOE should be screened for the presence of OSA and treated accordingly.

RésuméObjectifL'objectif de cette étude était d'évaluer la prévalence du syndrome d'apnées obstructives du sommeil (SAOS) chez les patients débutant une épilepsie à un âge tardif et qui sont donc considérés à haut risque cardiovasculaire.MéthodesUne polysomnographie a été réalisée chez 27 patients ayant débuté une épilepsie à un âge tardif. Un questionnaire de Berlin et une échelle de somnolence d'Epworth ont été réalisés chez tous les patients. Nous avons comparé les caractéristiques cliniques, démographiques et anthropométriques ainsi que les questionnaires de sommeil chez les patients n'ayant pas ou ayant un léger SAOS et les patients en ayant un modéré ou sévère. Les patients éligibles à un traitement par continuous positive airway pressure (CPAP) ont été revus en consultation.RésultatsVingt-quatre patients (88,9 %) avaient un SAOS et 55,6 % avaient un SAOS modéré ou sévère. Les patients du groupe 2 (n = 15) étaient plus vieux que ceux du groupe 1 (n = 12). Les deux groupes étaient similaires en termes d'index de masse corporelle (IMC), de circonférence cervicale, de fréquence des crises nocturnes, de facteurs de risque cardiovasculaire et de somnolence diurne excessive. La leuco-araïose sur l'IRM était fréquente chez nos patients (40,7 %), surtout chez ceux du groupe 2. Parmi les patients qui ont débuté un traitement par CPAP, 80 % ont eu une diminution de la fréquence des crises.ConclusionLe SAOS doit être recherché chez les patients débutant une épilepsie à un âge tardif et traité s'il est présent.

ناشر
Database: Elsevier - ScienceDirect (ساینس دایرکت)
Journal: Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology - Volume 47, Issue 1, February 2017, Pages 55-61
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