Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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10726614 | Comptes Rendus Physique | 2014 | 5 Pages |
Abstract
La simultanéité d'une réunion au CECM/CNRS en 1985 planifiant le travail expérimental sur les quasicristaux nouvellement découverts et un atelier mathématique à l'IHES sur la cristallographie N-dimensionnelle a permis un développement des concepts de la cristallographie moderne et fait de la France l'un des acteurs majeurs du domaine. Concomitamment, aux Ãtats-Unis, les cristallographes se dissuadèrent d'aborder ce sujet du fait du paradigme interdisant certaines symétries aux solides présentant des diffractions ponctuées, qui était tenu par un grand nombre pour la loi fondamentale de la cristallographie, malgré de nombreux exemples et exceptions (non-stÅchiométrie, phases incommensurables, etc.). En 1992, l'Union internationale de cristallographie changea la définition du cristal pour y inclure les quasicristaux. Cette définition exclut toujours de nombreuses structures ordonnées, telle une structure métallique isotrope récemment découverte, qui est aussi ordonnée que le cristal intermétallique dont elle dérive.
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Authors
John Werner Cahn,