Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
---|---|---|---|---|
2624304 | Kinésithérapie, la Revue | 2006 | 5 Pages |
Abstract
Certaines critiques alimentent la condamnation de pressions appuyées. Au nom du risque de collapsus, seules les pressions légères sont dites « correctes ». C’est oublier les 200 mmHg produits par les bandes, piliers de la décongestion des lymphœdèmes. En fait, un obstacle au transit lymphatique génère une hyperpression intralymphatique (200-300 mmHg). Avec la distension lymphatique qui succède, la pression revient à 10 mmHg. Toutefois, toute compression du lymphatique augmente la pression intralymphatique jusqu’à 200-300 mmHg rendant illusoire tout collapsus par les moyens dont dispose le kinésithérapeute.
Related Topics
Health Sciences
Medicine and Dentistry
Orthopedics, Sports Medicine and Rehabilitation