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2721690 Canadian Journal of Cardiology 2016 12 Pages PDF
Abstract

Aortic imaging is an essential part of a surveillance program for patients with a confirmed or suspected aortopathy because aortic size is crucial for predicting the risk of death, aortic rupture, or aortic dissection. Noninvasive aortic imaging relies on transthoracic and transesophageal echocardiography, cardiovascular magnetic resonance and computed tomography (CT) imaging. Echocardiography and cardiovascular magnetic resonance offer comprehensive anatomical and functional evaluation of the heart, aortic valve, and aorta, and CT is more limited to anatomical data. However, CT is fast, available, and less operator-dependent. There is general consensus that the aorta should be measured at reproducible anatomical landmarks on electrocardiogram-gated images, perpendicular to the blood flow and using multiplanar reconstruction if possible. The method of measurement must be included in the clinical report. Normal aortic size depends on age, sex, and body size. Serial measurements should use identical methods. There is controversy about the inclusion of the aortic wall in the vessel diameter and the trigger time in the cardiac cycle for measurement, although diastole is more reproducible. The best method to measure the diameter of the sinuses of Valsalva remains unclear. Imagers and clinicians should pay close attention to the aorta measurement techniques and weigh the clinical implications of modification of their institutional protocols.

RésuméL'imagerie aortique constitue un élément essentiel d'un programme de surveillance des patients présentant une aortopathie soupçonnée ou confirmée puisque la taille de l’aorte est un facteur déterminant pour prédire le risque de décès, de rupture ou de dissection aortique. L’imagerie non invasive de l’aorte peut être obtenue par échocardiographie transthoracique et transœsophagienne, par résonance magnétique cardiovasculaire ou par tomodensitométrie. L’échocardiographie et la résonance magnétique cardiovasculaire permettent une évaluation anatomique et fonctionnelle détaillée du cœur, de la valve aortique et de l’aorte. La tomodensitométrie, pour sa part, se limite essentiellement aux données anatomiques, mais a l’avantage d’être plus facilement disponible, rapide à effectuer et moins dépendante de l'opérateur. Il est généralement admis que l’aorte doit être mesurée à des points de repère anatomiques reproductibles sur des images synchronisées à l'électrocardiogramme, perpendiculairement au flux sanguin et, si possible, au moyen d’une reconstruction multiplanaire. La méthode utilisée pour mesurer l’aorte doit être indiquée dans le rapport clinique. La dimension normale de l’aorte dépend de l’âge, du sexe et de la taille du patient. Les mesures sériées doivent toujours être effectuées à l’aide de la même méthode. L’inclusion de la paroi aortique dans le diamètre du vaisseau est actuellement controversée. Il en va de même pour ce qui est de la phase du cycle cardiaque, mais la diastole est plus facilement reproductible. En outre, la meilleure méthode pour mesurer le diamètre des sinus de Valsalva demeure encore incertaine. Les spécialistes en imagerie et les cliniciens devraient accorder une attention particulière aux techniques utilisées pour mesurer l’aorte et bien peser le pour et le contre d’une modification des protocoles de leur établissement.

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