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3255147 Canadian Journal of Diabetes 2013 6 Pages PDF
Abstract

Regular physical activity has substantial health benefits in persons with type 1 diabetes, including reduced risk of complications and cardiovascular mortality as well as improved self-rated quality of life. Despite these benefits, individuals with type 1 diabetes are often less active than their peers without diabetes. When factors such as time constraints, work pressure and environmental conditions are often cited as barriers to physical activity in the general population, 2 additional major factors may also explain the low rates of physical activity in young people with type 1 diabetes: (1) fear of hypoglycemia both during and after (particularly overnight) exercise and (2) a lack of empiric evidence for the efficacy of physical activity for achieving optimal glycemic control. A number of acute exercise trials recently showed that the inclusion of vigorous intensity physical activity in conventional moderate intensity (i.e. walking and light cycling) exercise sessions may overcome these barriers. No studies have tested the efficacy of high-intensity physical activity on glycemic control (A1C) or post-exercise hypoglycemia in a randomized controlled trial. This article summarizes the literature related to the role of physical activity for the management of blood glucose levels in individuals with type 1 diabetes and provides a rationale for the need of a randomized controlled trial examining the effects of vigorous-intensity physical activity on blood glucose control.

RésuméL’activité physique régulière a des effets positifs substantiels sur la santé des personnes ayant le diabète de type 1, y compris la réduction du risque de complications et de mortalité liée à la maladie cardiovasculaire ainsi qu’une meilleure autoévaluation de la qualité de vie. En dépit de ces effets positifs, les individus ayant le diabète de type 1 sont souvent moins actifs que leurs pairs n’ayant pas le diabète. Lorsque des facteurs tels les contraintes de temps, la charge de travail et l’environnement souvent sont cités comme des obstacles à l’activité physique dans la population générale, 2 facteurs additionnels majeurs peuvent également expliquer les faibles taux d’activité physique chez les jeunes personnes ayant le diabète de type 1 : 1) la peur de l’hypoglycémie pendant et après (particulièrement la nuit) l’exercice; 2) le manque de données empiriques sur l’efficacité de l’activité physique pour atteindre une régulation glycémique optimale. Plusieurs essais sur l’exercice intense montraient récemment que l’introduction de l’activité physique d’intensité vigoureuse à des séances traditionnelles d’exercice d’intensité modérée (c.-à-d. la marche et le vélo de faible intensité) peut surmonter ces obstacles. Aucune étude n’a testé l’efficacité de l’activité physique d’intensité élevée sur la régulation de la glycémie (HbA1c) ou sur l’hypoglycémie après exercice lors d’un essai clinique aléatoire. Cet article résume la littérature en lien avec le rôle de l’activité physique sur la prise en charge des taux de glycémie chez les individus ayant le diabète de type 1 et justifie le besoin de réaliser un essai clinique aléatoire examinant les effets de l’activité physique d’intensité vigoureuse sur la régulation de la glycémie.

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Authors
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