Article ID Journal Published Year Pages File Type
3255177 Canadian Journal of Diabetes 2014 8 Pages PDF
Abstract

Diabetic nephropathy is the most common cause of end-stage renal disease requiring chronic dialysis or renal transplantation, resulting in high morbidity, mortality and societal costs to Canadians. Unfortunately, glycemic targets are often not achieved, and existing medications that block the renin-angiotensin-aldosterone system only offer partial protection against the development of renal and cardiovascular complications. As a consequence, in type 1 diabetes mellitus, 20% of patients treated with angiotensin-converting enzyme inhibition still have progressive nephropathy over 10 years. More recent work has suggested that blockade of renal sodium-glucose cotransport-2 (SGLT2) improves glycemic control and also reduces blood pressure, suggesting a potential for protective effects. Furthermore, in patients with type 1 diabetes, we have shown that SGLT2 inhibition reduces hyperfiltration, which is a risk factor for diabetic kidney disease and vascular dysfunction. Because primary prevention with renin-angiotensin-aldosterone system blockers have been ineffective in type 1 diabetes, early intervention studies that target alternative pathogenic mechanisms are of the utmost importance. SGLT2 inhibition may represent a safe, novel therapy that simultaneously reduces hyperglycemia, hyperfiltration and blood pressure, leading to renal and cardiovascular protection.

RésuméLa néphropathie diabétique, la cause la plus fréquente d’insuffisance rénale terminale, nécessite la dialyse à répétition ou la transplantation rénale entraînant une morbidité, une mortalité et des coûts sociaux élevés chez les Canadiens. Malheureusement, les cibles glycémiques sont rarement atteintes et les médicaments actuels qui bloquent le système rénine-angiotensine-aldostérone n’offrent seulement qu’une protection partielle contre l’apparition des complications rénales et cardiovasculaires. Par conséquent, lors de diabète sucré de type 1, 20 % des patients traités par l’inhibition de l’enzyme de conversion de l’angiotensine ont immuablement une néphropathie évolutive depuis plus de 10 ans. De plus récents travaux ont suggéré que le blocage du cotransporteur sodium glucose de type 2 (SGLT2) améliore la régulation glycémique et réduit également la pression artérielle, ce qui indique un potentiel d’effets protecteurs. De plus, chez les patients souffrant du diabète de type 1, nous avons montré que l’inhibition du SGLT2 réduit l’hyperfiltration, un facteur de risque de néphropathie diabétique et de dysfonctionnement vasculaire. Puisque la prévention primaire à l’aide des bloqueurs du système rénine-angiotensine-aldostérone ont été inefficaces lors de diabète de type 1, des études sur l’intervention précoce qui ciblent les autres mécanismes pathogéniques sont de la plus grande importance. L’inhibition du SGLT2, un nouveau traitement qui réduit simultanément l’hyperglycémie, l’hyperfiltration et la pression artérielle, s’avérerait sûre, et entraînerait une protection rénale et cardiovasculaire.

Related Topics
Health Sciences Medicine and Dentistry Endocrinology, Diabetes and Metabolism
Authors
, ,