Article ID Journal Published Year Pages File Type
3255385 Canadian Journal of Diabetes 2012 6 Pages PDF
Abstract

ObjectiveTo examine the relationship between low muscle strength and the metabolic profile in obese postmenopausal women.MethodsForty-seven obese postmenopausal women were recruited (age: 60 ± 5 y; body mass index: 34.1 ± 3.5 kg/m2). Obesity was defined as a fat mass % >40. Subjects were considered as having low muscle strength levels based on a cut-point of handgrip strength measurement of <28.56 kg. Outcome measures were anthropometric measurements, body composition (dual-energy x-ray absorptiometry [DXA]), handgrip strength and cardiometabolic risk factors (i.e. lipid profile, insulin sensitivity).ResultsNo significant differences were observed between women with low and normal handgrip strength for anthropometric measurements, body composition and lipid profile. However, we observed that insulin (p=0.049), glucose (p=0.036) and homeostatic model assessment (p=0.048) were significantly lower, and insulin sensitivity (Matsuda index) significantly higher (p=0.042) in women with low muscle strength compared to women with normal muscle strength.ConclusionLow muscle strength seems to be associated with a better insulinemic profile in obese postmenopausal women.

RésuméObjectifExaminer le lien entre la faible force musculaire et le profil métabolique chez les femmes postménopausées obèses.MéthodesQuarante-sept (47) femmes postménopausées obèses ont été recrutées (âge : 60 ± 5 a; indice de masse corporelle : 34,1 ± 3,5 kg/m2). L’obésité a été définie comme un % de masse grasse > 40. Les sujettes ont été considérées comme ayant un niveau de force musculaire faible selon un seuil de mesure de la force au dynamomètre < 28,56 kg. Les critères d’évaluation étaient les mesures anthropométriques, la composition corporelle (DEXA : dual-energy x-ray absorptiometry qui signifie absorptiométrie à rayons X en double énergie), la force au dynamomètre et les facteurs de risque cardiométabolique (c.-à-d. le bilan lipidique, la sensibilité à l’insuline).RésultatsAucune différence significative des mesures anthropométriques, de la composition corporelle et du profil métabolique n’a été observée entre les femmes ayant une force au dynamomètre, faible ou normale. Cependant, nous avons observé que l’insuline (p = 0,049), le glucose (p = 0,036) et le modèle d’évaluation homéostatique (p = 0,048) étaient significativement plus faibles, et la sensibilité à l’insuline (indice de Matsuda), significativement plus élevée (p = 0,042) chez les femmes ayant une faible force musculaire comparativement aux femmes ayant une force musculaire normale.ConclusionUne faible force musculaire semble être associée à un meilleur profil insulinémique chez les femmes postménopausées obèses.

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