Article ID Journal Published Year Pages File Type
3255930 Canadian Journal of Diabetes 2012 4 Pages PDF
Abstract

ObjectiveReport some novel associations seen between maternal diabetes in pregnancy (DIP) and infant morbidity over the first year of life.MethodsA retrospective population based cohort of infants born at 34 to 41 weeks of gestational age (GA) was assembled; using individual and area-level income for socio-economic status (SES). Neonatal morbidity was measured as diagnoses received during the birth stay. First year outcomes were neonatal readmissions (up to 28 days) and postneonatal admissions (29 to 365 days). Logistic regression controlled for confounders.ResultsThere were 25 312 infants: 6.1% preterm, 32.4% low SES, and 4.8% had mothers with DIP. During the newborn period maternal DIP increased the odds of nonrespiratory morbidity (odds ratio [OR] 8.1; 95% confidence interval [CI] 6.9–9.5), need for phototherapy (OR 2.3; 95% CI 1.8–2.9) and neonatal intensive care unit admission (OR 2.8; 95% CI 2.4–3.4) and had an unclear relationship with respiratory outcomes. Maternal DIP did not demonstrate a significant association with neonatal admissions. Maternal DIP increased the odds of postneonatal admissions (OR 1.2; 95% CI 1.0–1.5) but not in the respiratory subgroup (OR 1.0; 95% CI 0.7–1.3).ConclusionsMaternal DIP is a significant risk factor for infant morbidity that persists over the first year of life. Its consistent lack of an association with respiratory morbidity in this cohort suggests an interaction with SES and merits further investigation.

RésuméObjectifsExpliquer certains nouveaux liens entre le diabète pendant la grossesse et la morbidité infantile au cours de la première année de vie.MéthodesUne cohorte rétrospective en population générale de nourrissons dont l’âge gestationnel (AG) se situe entre 34 et 41 semaines a été constituée en utilisant le revenu individuel et par région pour établir le statut socioéconomique (SSÉ). La morbidité néonatale a été mesurée selon les diagnostics reçus durant le séjour entourant la naissance. Les résultats de la première année ont montré des réadmissions néonatales (jusqu’à 28 jours) et des admissions postnatales (29 à 365 jours). La régression logistique a neutralisé les facteurs confusionnels.RésultatsIl y a eu 25 312 nourrissons : 6,1 % nés avant terme, 32,4 % ayant un faible SSÉ et 4,8 % ayant des mères diabétiques pendant la grossesse. Durant la période néonatale, le diabète pendant la grossesse a augmenté le taux de morbidité non respiratoire (ratio d’incidence approché [RIA] = 8,1; intervalle de confiance [IC] de 95 % = 6,9 à 9,5), le besoin de photothérapie (RIA = 2,3; IC de 95 % = 1,8 à 2,9) et l’admission à l’USNI (RIA = 2,8; IC de 95 % = 2,4 à 3,4) et a montré une relation incertaine avec l’évolution respiratoire. Le diabète pendant la grossesse n’a pas démontré de lien significatif avec les admissions néonatales. Le diabète pendant la grossesse a augmenté le taux d’admission postnéonatale (RIA 1,2; IC de 95 % = 1,0 à 1,5), mais pas celui du sous-groupe ayant une morbidité respiratoire (RIA = 1,0; IC de 95 % = 0,7 à 1,3).ConclusionLe diabète pendant la grossesse est un facteur de risque significatif de la morbidité infantile qui persiste au cours de la première année de vie. L’absence constante de lien de cette cohorte avec la morbidité respiratoire montre une interaction avec le SSÉ et exige de mener d’autres recherches.

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