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3255950 Canadian Journal of Diabetes 2012 6 Pages PDF
Abstract

ObjectiveTo describe the preferences and the associated patients’ characteristics of well-controlled type 2 diabetes patients for the diabetes monitoring frequency in primary care.MethodsCross-sectional study with 233 participating general practitioners across the Netherlands. Eligible patients were between 40 and 80 years, diagnosed with type 2 diabetes for more than 1 year not on insulin, and with glycated hemoglobin (A1C) ≤7.5%, systolic blood pressure ≤145 mm Hg and total cholesterol ≤5.2 mmol/L. Participants were asked whether they had a preference for 3-monthly or 6-monthly monitoring or no preference.ResultsFrom 2215 patients, 747 patients (33.7%) preferred 3-monthly and 677 (30.6%) 6-monthly monitoring by either the general practitioner or the practice nurse. The former group consisted of less smokers, felt less healthy, reported more diabetes-related distress, had the highest reported frequency of hyperglycemic episodes and used more oral blood glucose lowering drugs compared to the other patients. Those preferring 6-monthly monitoring were least satisfied with diabetes treatment, reported the lowest frequency of hyperglycemic episodes and used less oral blood glucose lowering drugs compared to the other patients.ConclusionA preference for more frequent monitoring was associated with a worse disease status, whereas a preference for less frequent monitoring tended to be associated with the opposite. Patients seem to have logical preferences that need to be accounted for in diabetes care.

RésuméObjectifsDécrire les préférences et les caractéristiques associées des patients ayant un diabète de type 2 bien maîtrisé en ce qui a trait à la fréquence de la surveillance médicale du diabète en soins primaires.MéthodesL'étude transversale comptait 233 praticiens généraux participants des Pays-Bas. Les patients admissibles étaient âgés de 40 à 80 ans, avaient reçu un diagnostic de diabète de type 2 depuis plus d’un an, ne prenaient pas d’insuline et avaient une hémoglobine glyquée (HbA1c) ≤ 7,5 %, une pression systolique ≤ 145 mm Hg et un cholestérol total ≤ 5,2 mmol/L. On a demandé aux participants s’ils préféraient une surveillance médicale tous les 3 mois ou une surveillance médicale tous les 6 mois, ou s’ils n’avaient aucune préférence.RésultatsParmi les 2215 patients, 747 patients (33,7 %) préféraient une surveillance médicale tous les 3 mois et 677 (30,6 %) préféraient une surveillance médicale tous les 6 mois soit par le praticien général ou l’infirmière attachée au cabinet du généraliste. Le premier groupe comprenait moins de fumeurs, se sentait en moins bonne santé, rapportait plus de détresse liée au diabète, rapportait la fréquence la plus élevée d’épisodes hyperglycémiques et utilisait plus d’hypoglycémiants oraux comparativement aux autres patients. Ceux préférant une surveillance médicale tous les 6 mois étaient moins satisfaits du traitement de leur diabète, rapportaient la plus basse fréquence d’épisodes hyperglycémiques et utilisaient moins d’hypoglycémiants oraux comparativement aux autres patients.ConclusionUne préférence de surveillance médicale plus fréquente était associée à un pire état de la maladie, alors qu’une préférence de surveillance moins fréquente était généralement associée à un état opposé. Les patients semblent avoir des préférences logiques devant être envisagées lors des soins aux personnes diabétiques.

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