Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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3259884 | Diabetes & Metabolism | 2013 | 8 Pages |
AimVitamin D deficiency is associated with coronary artery disease (CAD), and the actions of vitamin D are mediated by binding to a specific nuclear vitamin D receptor (VDR). This study investigated the associations of VDR gene variants with CAD in two cohorts of type 2 diabetes patients.MethodsA cohort of 3137 subjects from the prospective DIABHYCAR study (CAD incidence: 14.8%; follow-up: 4.4 ± 1.3 years) and an independent, hospital-based population of 713 subjects, 32.3% of whom had CAD, were assessed. Three SNPs in the VDR gene were genotyped: rs1544410 (BsmI); rs7975232 (ApaI); and rs731236 (TaqI).ResultsIn the DIABHYCAR cohort, an association was observed between the A allele of BsmI and incident cases of CAD (HR: 1.16, 95% CI: 1.05–1.29; P = 0.002). Associations were also observed between BsmI (P = 0.01) and TaqI (P = 0.04) alleles and baseline cases of CAD. The AAC haplotype (BsmI/ApaI/TaqI) was significantly associated with an increased CAD prevalence at the end of the study compared with the GCT haplotype (OR: 1.12, 95% CI: 1.02–1.28; P = 0.04). In a cross-sectional study of the independent hospital-based cohort, associations of ApaI (P = 0.009) and TaqI (P = 0.03) alleles with CAD were observed, with similar haplotype results (OR: 1.33, 95% CI: 1.03–1.73; P = 0.03).ConclusionThe haplotype comprising the minor allele of BsmI, major allele of ApaI and minor allele of TaqI of VDR (AAC) was associated with an increased risk of CAD in type 2 diabetes patients. This effect was independent of the effects of other known cardiovascular risk factors.
RésuméObjectifDes taux circulants bas de vitamine D sont associés à une augmentation du risque de maladie coronarienne. Les actions de la 1,25-(OH)2D3 dépendent de sa liaison à un récepteur intracellulaire spécifique (VDR). Nous avons évalué l’impact des variations alléliques du gène codant pour VDR dans la maladie coronarienne chez des diabétiques de type 2 à fort risque vasculaire.MéthodesNous avons étudié 3137 sujets de l’étude prospective DIABHYCAR (incidence de maladie coronarienne de 14,8 % ; suivi de 4,4 ± 1,3 ans). Une population cas–témoin indépendante a été également étudiée (cohorte NCH, 713 sujets, prévalence de maladie coronarienne de 32,3 %). Trois SNPs ont été génotypés : rs1544410 (BsmI), rs7975232 (ApaI) et rs731236 (TaqI).RésultatsDes associations alléliques de BsmI (P = 0,01) et TaqI (P = 0,04) ont été observées avec la prévalence de la maladie coronarienne à l’inclusion dans la cohorte DIABHYCAR. BsmI était également associé avec l’incidence de maladie coronarienne pendant le suivi (hasard ratio = 1,16, 95 % C.I. 1,05–1,29, P = 0,002). L’haplotype AAC (BsmI/ApaI/TaqI) était associé significativement avec la prévalence de maladie coronarienne en fin de l’étude (odds ratio 1,12, 95 % C.I. 1,02–1,28, P = 0,04, par rapport à l’haplotype GCT). Des associations alléliques d’ApaI (P = 0,009) et TaqI (P = 0,03) ont été observées avec la prévalence de la maladie coronarienne dans la cohorte NCH, et l’association haplotypique a été répliquée (odds ratio 1,33, 95 % C.I. 1,03–1,73, P = 0,03).ConclusionL’haplotype composé de l’allèle mineur de BsmI, de l’allèle majeur d’ApaI et de l’allèle mineur de TaqI de VDR (AAC) était associé au risque de maladie coronarienne dans le diabète de type 2. Cet effet était indépendant des effets d’autres facteurs de risque cardiovasculaires connus.