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3260655 Diabetes & Metabolism 2009 6 Pages PDF
Abstract

AimAlthough the ANGPTL6 (angiopoietin-like 6) gene product is now known to be involved in the regulation of fat mass and insulin sensitivity in mice, its physiological functions in humans have yet to be determined.MethodsSubjects from the population-based French MONICA Study (n = 3402) were genotyped for single nucleotide polymorphisms (SNPs) in ANGPTL6, and associations with anthropometric or biochemical phenotypes were looked for.ResultsOn evaluating the frequency of 17 ANGPTL6 SNPs in 100 randomly selected subjects on the basis of linkage disequilibrium mapping, four SNPs (rs6511435, rs8112063, rs11671983 and rs15723) were found to cover more than 95% of the known ANGPTL6 genetic variability. Subjects from the entire MONICA Study were then genotyped for these four SNPs. No significant association was detected for rs11671983 and rs15723. In contrast, the G allele of rs8112063 was associated with lower plasma glucose levels (P = 0.009). Also, obese subjects carrying the G allele of rs6511435 had higher plasma insulin levels than AA subjects (P = 0.0055). Moreover, the G allele of rs6511435 tended to be associated with a 20% higher risk of the metabolic syndrome (P = 0.034). However, when false discovery rate testing (40 tests) was applied, these associations were no longer statistically significant.ConclusionThese findings constitute the first study in humans of ANGPTL6 genetic variability. Although there was no evidence that polymorphisms in ANGPTL6 might be significantly associated with the metabolic syndrome-related phenotypes, a weak association of these polymorphisms with these parameters cannot be excluded. Further association studies are needed to arrive at any definite conclusions.

RésuméButBien que le rôle de l’ANGPTL6 (angiopoietine-like 6) dans la régulation de la masse grasse et la sensibilité à l’insuline ait été mis en évidence chez la souris, ses fonctions physiologiques chez l’homme sont encore inconnues.MéthodesLe génotypage des polymorphismes du gène ANGPTL6 a été réalisé chez les sujets de l’étude MONICA, représentative de la population française âgée de 35 à 65 ans (n = 3402), à la recherche d’associations entre ces polymorphismes et les phénotypes anthropométriques et biologiques.RésultatsNous avons évalué la fréquence de 17 polymorphismes du gène ANGPTL6 chez 100 sujets tirés au sort de l’étude MONICA et, à partir de la carte de déséquilibre de liaison, nous avons montré que quatre polymorphismes (rs6511435, rs8112063, rs11671983 et rs15723) couvraient plus de 95 % de la variabilité génétique connue de ANGPTL6. Tous les individus de l’étude MONICA ont alors été génotypés pour ces quatre polymorphismes. Aucune association n’a été détectée pour les polymorphismes rs11671983 et rs15723. À l’inverse, l’allèle G du polymorphisme rs8112063 était associé à une glycémie plus basse (P = 0,009). De plus, les individus obèses porteurs de l’allèle G du polymorphisme rs6511435 présentaient une insulinémie plus élevée que les individus AA (P = 0,0055). L’allèle G du polymorphisme rs6511435 tendait également à être associé à une augmentation du risque de 20 % de syndrome métabolique (P = 0,034). Cependant, lorsqu’on applique une correction pour tests multiples (40 tests réalisés), ces associations n’étaient plus significatives.ConclusionEn conclusion, ces résultats constituent la première étude de la variabilité génétique du gène ANGPTL6 chez l’homme. Bien que nous n’ayons pas mis en évidence d’association significative entre les polymorphismes d’ANGPTL6 et les phénotypes du syndrome métabolique, nous ne pouvons pas exclure pour autant que des polymorphismes de ce gène puissent être faiblement associés à ces phénotypes. D’autres études d’association sont nécessaires pour pouvoir conclure.

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Authors
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