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345761 Child Abuse & Neglect 2006 17 Pages PDF
Abstract

ObjectiveThe objectives of this study were to examine whether girls with attention-deficit/hyperactivity disorder (ADHD) are at increased risk of having histories of abuse and to assess whether the presence of an abuse history may constitute a distinct subgroup of youth with ADHD.MethodWe examined rates and correlates of child abuse in an ethnically and socioeconomically diverse sample of girls with attention-deficit/hyperactivity disorder (ADHD; n = 140) and a matched comparison sample of girls without ADHD (n = 88), all aged 6–12 years. A thorough chart review reliably established documented rates of physical and sexual abuse in both samples.ResultsThere were significantly higher rates of abuse for girls with ADHD (14.3%) than for the comparison sample (4.5%), with most of the abuse found in girls with the Combined as opposed to the Inattentive type. Higher rates of externalizing behaviors (including objective observations in a research summer camp) and peer rejection (indexed through peer sociometric nominations) characterized the subgroup of girls with ADHD with abuse histories compared to the subgroup without such histories, with moderate to large effect sizes. Subgroup differences regarding internalizing problems and cognitive deficits did not emerge. Findings regarding peer rejection were explained, in part, by higher rates of observed aggressive behavior in the abused subgroup.ConclusionsThe findings raise important questions about the possible etiologic and/or exacerbating role of abusive trauma in a subgroup of children with ADHD.

RésuméObjectifCette étude a examiné des fillettes souffrant de troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité à savoir si ce problème les expose à un plus grand risque d’être victimes de maltraitance, et a évalué si une anamnèse de maltraitance parmi ce groupe pourrait constituer une raison pour reconnaître un sous-groupe de jeunes souffrant de ce désordre.MéthodeNous avons examiné les taux de maltraitance ainsi que les facteurs qui y sont associés dans une population mixte tant au point de vue ethnique que socioéconomique, de fillettes âgées de 6 à 12 ans et souffrant de troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité (n = 140) et nous les avons comparées à un échantillon de fillettes non atteintes du même désordre (n = 88). Nous avons passé en revue attentivement leurs dossiers afin de confirmer qu’elles avaient été effectivement victimes de maltraitance physique et sexuelle.RésultatsLes fillettes souffrant de troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité manifestent des taux beaucoup plus élevés de maltraitance (14,5%) que le groupe de comparaison (4,5%), et la plupart des incidents de maltraitance sont du type «combiné» plutôt que du type «inattentif». Les fillettes faisant partie du sous-groupe (désordre + maltraitance) manifestent des taux plus élevés de comportements extériorisés (observés de façon objective, entre autres, dans un camp d’été) et de rejet par leurs paires (mesuré via des jugements sociométriques par leurs paires), comparées au groupe de comparaison. Ces taux sont modérément à largement plus élevés. Aucune différence n’a été observée concernant les problèmes d’intériorisation et les déficits cognitifs. Les constats portant sur le rejet par les paires s’expliquent en partie par les taux plus élevés de comportement agressif parmi les fillettes du sous-groupe.ConclusionsLes constats soulèvent des questions importantes à savoir l’étiologie possible et/ou le rôle exacerbant des traumatismes causés par la maltraitance, dans un sous-groupe d’enfants souffrant de troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité.

ResumenObjetivoLos objetivos de este estudio fueron el examinar si niñas con trastorno por déficit de atención con hiperactividad (TDAH) tienen un mayor riesgo de haber sufrido una historia de maltrato y evaluar si la presencia de una historia de maltrato permite constituir un subgrupo distinto de jóvenes con TDAH.MétodoSe examinaron las tasas y correlatos de maltrato infantil en una muestra de chicas con TDAH (n = 140), con diversidad étnica y socioeconómica, y en un grupo comparación emparejado formado por chicas sin TDAH (n = 88). En ambos grupos las niñas tenían edades entre 6 y 12 años. A través de una revisión fiable de los archivos se establecieron las tasas documentadas de maltrato físico y abuso sexual en ambos grupos.ResultadosSe observaron tasas significativamente más altas de maltrato para las chicas con TDAH (14.3%) que para el grupo comparación (4.5%). En el grupo clínico las mayores tasas de historia de maltrato se observaron en las chicas con el subtipo combinado que en las del subtipo que presentan sólo trastorno de atención. Las tasas elevadas de conductas externalizadas (incluyendo observaciones objetivas llevadas a cabo en un campamento de verano) y de rechazo por los iguales (evaluadas a través de nominaciones sociométricas de los iguales) caracterizaron al subgrupo de chicas con TDAH e historia de maltrato comparado con el subgrupo de chicas con TDAH sin historia de maltrato. Las diferencias entre ambos grupos presentaron tamaños del efecto entre moderados y elevados. No aparecieron diferencias entre los subgrupos en relación con problemas internalizados y déficit cognitivos. Los hallazgos relacionados con el rechazo de los iguales fueron explicados, en parte, por las altas tasas observadas de conducta agresiva en el subgrupo con historias de maltrato.ConclusionesLos hallazgos sugieren cuestiones relevantes acerca de la posible etiología y/o del papel que desarrolla el maltrato infantil en un subgrupo de niños que presentan Trastorno por Déficit de Atención con Hiperactividad.

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