Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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4009586 | Canadian Journal of Ophthalmology / Journal Canadien d'Ophtalmologie | 2013 | 4 Pages |
ABSTRACTObjectiveThe purpose of this study was to define the overall anatomic success rate in pneumatic retinopexy and to identify morphologic features that may be predictive of treatment failure in pneumatic retinopexy.Design and ParticipantsProspective consecutive interventional case series of patients with new-onset primary rhegmatogenous retinal detachments treated with pneumatic retinopexy.MethodsIn this interventional case series, consecutive patients with new-onset primary rhegmatogenous retinal detachments were treated with pneumatic retinopexy and followed prospectively. Morphologic data were collected on 3-colour fundus drawings. The primary outcome measure was treatment failure, defined as requirement for scleral buckle or vitrectomy within the follow-up period. Rates of failure for each morphologic feature were compared and a logistic regression model was fit.ResultsA total of 113 eyes were included in the study. Anatomic success was achieved in 69.6% of patients. Morphologic criteria including the position and number of breaks, position and extent of lattice degeneration, size of the detached area, and macular status were all found not to be significantly related to failure. In multivariate analysis, only 3 predictors, pseudophakic status (p < 0.05, odds ratio [OR] 2.9, 95% CI, 1.06–7.88), presence of retinal break greater than 1 clock-hour (p < 0.05, OR 3.41, 1.06–11.02), and presence of grade C or D proliferative vitreoretinopathy (PVR) (p < 0.01, OR 31.83, 95% CI, 3.59–282.24), gained statistical significance.ConclusionsOnly pseudophakia, a large retinal break, and/or PVR was associated with an increased likelihood of failure.
RésuméObjetCette étude a pour objet de définir le taux global de réussite anatomique de la rétinopexie pneumatique et d'identifier les caractéristiques morphologiques qui peuvent être prédictives d'un échec du traitement par rétinopexie pneumatique.MéthodesDans cette série de cas d'intervention, les patients consécutifs ayant une survenue de nouveaux décollements de la rétine rhegmatogène avaient été traités par rétinopexie pneumatique et suivis de façon prospective. Les données morphologiques ont été colligées sur des dessins en 3 couleurs du fond d'œil. Le résultat primaire était l'échec du traitement défini comme étant la nécessité d'une boucle sclérale ou de la vitrectomie durant la période de suivi. Les taux d'échec de chaque marque morphologique ont été comparés et l'on a installé un modèle de régression logistique.RésultatsL'étude a porté sur 113 yeux. La réussite anatomique a été atteinte chez 69,6% des patients. Aucun des critères morphologiques, comprenant l'emplacement et le nombre des ruptures, la position et l'étendue des treillis, la taille de l'aire détachée et l'état maculaire, n'a été trouvé relié de façon significative à l'échec. Dans l'analyse à variables multiples, seulement trois prédicteurs, l'état pseudophake (p < 0,05, 2,9 [1,06, 7,88]), la présence de déchirure rétinienne au-delà d'une heure d'horloge (p < 0.05, 3,41 [1,06, 11,02]) et la présence de vitréorétinopathie proliférative (VRP) de grade C ou D (p < 0,01, 31,83 [3,59, 282,24]), ont obtenu une signification statistique.DiscussionSeules la pseudophakie, une grande déchirure rétinienne et/ou la VRP étaient associées à l'augmentation des possibilités d'échecs.