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4009609 Canadian Journal of Ophthalmology / Journal Canadien d'Ophtalmologie 2011 5 Pages PDF
Abstract

ObjectiveTo examine the effectiveness of argon (ALT) or selective (SLT) laser trabeculoplasty (LTP) in lowering intraocular pressure (IOP) and to determine whether patient-related factors had any impact on outcome.DesignRetrospective review.Participants500 patients treated with LTP over 14 years.MethodsThis study was conducted at Sunnybrook Health Sciences Centre, University of Toronto. Five patient-related characteristics were used as dependent variables—age, race, gender, pseudophakic status, and pseudoexfoliation. IOP decrease and treatment failure at 12 months were the main outcome variables.Results500 eyes of 500 patients were included, 350 after ALT and 150 after SLT. The mean ± standard deviation baseline IOP was significantly higher in the patients treated by ALT than in those treated by SLT (24.2 ± 5.4 versus 22.2 ± 4.6, p < 0.0001) at baseline but not at 1 year (19.6 ± 5.1 versus 19.5 ± 6.1, p = 0.41). When the final IOP was examined by multiple regression analysis, there was a significant effect in favor of ALT over SLT (p = 0.03) and for patients with higher baseline IOPs (p < 0.0001). No significant effect was found for any of the demographic subgroupings. However, when the outcome variable was success or failure, only the baseline IOP remained significant.ConclusionsSpecific patient characteristics do not significantly influence LTP outcome after 12 months of follow-up. The most powerful predictor of either final IOP or clinical success was a higher baseline IOP, but ALT may have a better ability to lower IOP.

RésuméObjetExamen de l'efficacité de la trabéculoplastie au laser (TPL) à l'argon (TLA) ou sélective (TLS) pour réduire la pression intraoculaire (PIO), et établissement des facteurs liés au patient qui auraient quelque impact sur le résultat.NatureRevue rétrospective.Participants500 patients traités par trabéculoplastie au laser pendant 14 ans.MéthodesCette étude a été menée au Sunnybrook Health Sciences Centre, Université de Toronto. Cinq caractéristiques liées au patient ont servi de variables dépendantes—l'âge, la race, le genre, l'état pseudophakique, et la pseudoexfoliation. La baisse de la PIO et la faillite du traitement après 12 mois furent les principales variables du résultat.RésultatsCinq-cent yeux de 500 patients ont été inclus, 350 après la TLA et 150 après la TLS. La moyenne ± l'écart-type (ÉT) de la PIO de base a été significativement plus élevée chez les patients qui avaient reçu la TLA que chez ceux qui eurent la TLS (24,2 ± 5,4 versus 22,2 ± 4,6, p < 0,0001) à la base de départ, mais pas après 1 an (19,6 ± 5,1 versus 19,5 ± 6,1, p = 0,41). L'analyse de la pression finale par régression multiple a favorisé de façon significative la TLA plutôt que la TLS (p = 0,03), ainsi que les patients qui avaient une PIO plus élevée (p < 0,0001) au départ. Aucun effet significatif n'a été constaté chez les sous-groupes démographiques. Toutefois, lorsque la variable du résultat fut définie comme soit la réussite ou la faillite, seule la PIO de base est demeurée significative.ConclusionLes caractéristiques spécifiques du patient n'influent pas de façon significative sur le résultat de la TPL après un suivi de 12 mois. Le prédicteur le plus puissant de la PIO finale ou de la réussite clinique était une PIO de base plus élevée au départ, mais la TLA peut avoir une plus grande capacité d'abaisser la PIO.

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Authors
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