Fee splitting in ophthalmology

Fee splitting and co-management are common practices in ophthalmology. These arrangements may conflict with the ethical principles governing the doctor—patient relationship, may constitute professional misconduct, and at times, may be illegal. Implications and perceptions of these practices may vary between different cultures. Full disclosure to the patient may minimize the adverse effects of conflicts of interest that arise from these practices, and may thereby allow these practices to be deemed acceptable by some cultural morays, professional guidelines, or by law. Disclosure does not necessarily relieve the physician from a potential ethical compromise. This review examines the practice of fee splitting in ophthalmology, its legal implications, the policies or guidelines governing such arrangements, and the possible ethical ramifications. Acomparative view between 3 countries, Canada, the United States, and Oman, was conducted; illustrating that even in disparate cultures, there may be some universality to the application of ethical principles.

RésuméLe partage des honoraires et la cogestion sont des pratiques courantes en ophtalmologie. Ces arrangements peuvent être incompatibles avec les principes d’éthique qui guident la relation médecin—patient et constituer une faute professionnelle et, parfois, être illégaux. Les implications et les perceptions de ces pratiques peuvent varier selon les différentes cultures. La divulgation entiere au patient peut minimiser les effets défavorables des conflits d’intérêts qui résultent de ces pratiques et ainsi permettre à ces pratiques d’être considérées acceptables selon certaines morales culturelles, directives professionnelles, ou par la loi. La divulgation ne libère pas nécessairement le médecin de la possibilité d’un compromis éthique. Cette étude examine la pratique du partage des honoraires, ses implications juridiques, les politiques ou lignes directrices qui régissent de tels arrangements, ainsi que les ramifications éthiques possibles. Un regard comparatif, jete sur 3 pays, le Canada, les États-Unis, et l’Oman, fait voir que, malgré la diversité des cultures, l’application de principes éthiques peut présenter une certaine universalité.