Ultrasound biomicroscopy study of vitreous incarceration subsequent to intravitreal injections

ObjectiveTo study the existence of vitreous incarceration by ultrasound biomicroscopy (UBM) at the pars plana after direct intravitreal injection of triamcinolone acetonide ± bevacizumab without anterior chamber paracentesis.DesignInterventional case series.ParticipantsPatients undergoing intravitreal injection of triamcinolone acetonide with or without intravitreal bevacizumab.MethodsIn 21 eyes, the existence of vitreous incarceration at the pars plana site of intravitreal injection of 0.05 mL of drug was studied by UBM (50 MHz probe of the VUmax, Sonomed, NY), the day after surgery, by 1 technician. The reason for injection was diabetic retinopathy in 12 (57.1%) eyes; age-related macular degeneration in 6 (28.6%) eyes; branch retinal vein occlusion in 2 (9.5%) eyes; and choroiditis in 1 eye (4.8%). In 1 eye, only triamcinolone acetonide was injected, and in the other eyes, bevacizumab mixed with triamcinolone acetonide was injected.ResultsWe studied 21 eyes in 13 patients. Of the subjects, 61.5% were male. The mean age of the patients was 62.2 years. On the day after intravitreal injection of the drug, vitreous incarceration into the pars plana site was detected by UBM in 42.9% of the eyes.ConclusionVitreous incarceration exists after intravitreal injection of drug, but its clinical importance is still unknown. Further long-term prospective studies are recommended.

RésuméObjetÉtude par biomicroscopie à l'ultrason (BMU) de l'existence de l'incarcération du vitré au niveau de la pars plana après une injection intravitréenne directe d'acétonide de triamcinolone ± bevacizumab sans paracentèse de la chambre antérieure.NatureSérie de cas d'intervention.ParticipantsPatients ayant une injection intravitréenne d'acétonide de triamcinolone avec ou sans bevacizumab intravitréen.MéthodesLe lendemain de la chirurgie, un technicien a étudié par BMU (sonde de courant de 50 MHz de VUmas, Sonomed, NY), dans 21 yeux, l'existence d'une incarcération du vitré au site d'injection intravitréenne de 0,05 mL de médicament par la pars plana. La raison de l'injection était la rétinopathie diabétique dans 12 yeux (57,1 %); la dégénérescence maculaire liée à l'âge dans 6 yeux (28,6 %); l'occlusion de branche veineuse rétinienne dans 2 yeux (9,5 %) ; et la choroïde dans 1 œil (4,8 %). L'on avait injecté uniquement de l'acétonide de triamcinolone dans 1 œil seulement et un mélange de bevacizumab et d'acétonide de triamcinolone dans les autres yeux.RésultatsVingt-et-un yeux de 13 patients ont été étudiés. De tous les sujets, 61,5 % étaient masculins et la moyenne d'âge était de 62,2 ans. Au lendemain de l'injection intravitréennes de médicament, l'incarcération vitréenne dans le site de la pars plana a été détecté avec la BMU dans 42,9 % des yeux.ConclusionL'incarcération du vitré existe après l'injection intravitréenne de médicament, mais son importance clinique n'est toujours pas connue. Il est recommandé de poursuivre les des études de prospective à long terme.