Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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4010511 | Canadian Journal of Ophthalmology / Journal Canadien d'Ophtalmologie | 2009 | 6 Pages |
Objective: To investigate the adequacy of undergraduate ophthalmology education in Canada in comparison with the International Council of Ophthalmology (ICO) guidelines.Design: Cross-sectional survey.Participants: First-year residents who had graduated from Canadian medical schools.Methods: Eligible residents were invited to participate in an online survey in 2007. Data were categorized by demographic variables, and basic statistics were done.Results: Responses were obtained from 386 of the 1425 individuals (27.0%) contacted. The majority (64.0%) stated they had “too little” or “no exposure” to ophthalmology in medical school. The majority (76.2%) of respondents stated that they had had 1 week or less of overall exposure to ophthalmology. Sufficient exposure to several ICO core subspecialty areas was reported, including lens/cataract (81.1%) and cornea/external diseases (81.6%); however, some areas did not receive adequate time allocation, such as vitreoretinal disease (41.9%). Similarly, competency was obtained in certain ICO examination skills, including assessment of visual acuity (83.3%) and pupillary reflexes (90.7%) but was not achieved for other skills, such as fundoscopy (52.3%), slit-lamp examination (44.8%), and intraocular pressure assessment (19.9%). When asked whether sufficient ophthalmology knowledge and skills had been obtained during medical school, only 42.9% and 25.9% agreed, respectively.Conclusions: Undergraduate ophthalmology training in Canada contains gaps in certain key areas. Developing a national, standardized curriculum could ensure that medical students acquire competency in the ophthalmology knowledge and skills required for future clinical practice.
RésuméObjet: Examen de l’adéquation de la formation des étudiants sous-gradués en ophtalmologie aux lignes directrices du Conseil international d’ophtalmologie (CIO).Nature: Sondage transversal.Participants: Résidents de Ire année qui avaient reçu leur diplôme des écoles de médecine du Canada.Méthodes: Les étudiants admissibles ont été invités à participer à un sondage en ligne en 2007. Les données ont été réparties selon les variables démographiques et on en a tiré les statistiques de base.Résultats: Trois cent quatre-vingt-six des 1425 étudiants contactés ont répondu au questionnaire. La majorité (64,0%) a déclaré avoir été «trop peu» exposée, sinon «pas du tout», à l’ophtalmologie, à l’école de médecine. La majorité des répondants (76,2%) a précisé qu’on avait consacré tout au plus une semaine seulement à l’ophtalmologie. On a signalé avoir consacré suffisamment de temps à plusieurs secteurs de surspécialité selon la CIO, y compris les lentilles et la cataracte (81,1%) ainsi que la cornée et les maladies cornéennes et externes (81,6%); on n’a cependant pas alloué suffisamment de temps a certains secteurs, telle la maladie vitréorétinienne (41,9%). De même, la compétence a été reconnue lors de certains examens du CIO, notamment l’évaluation de l’acuité visuelle (83,3%) et les réflexes pupillaires (90,7%), mais n’a pas été reconnue pour d’autres compétences, comme la fondoscopie (52,3%), l’examen à la lampe à fente (44,8%) et l’estimation de la pression intraoculaire (19,9%). À savoir s’ils avaient acquis suffisamment de connaissances et de capacités ophtalmologiques à l’école médicale, seulement 42,9% et 25,9% se sont dits d’accord, respectivement.Conclusions: Au Canada, il y a des lacunes dans la formation universitaire de certains secteurs essentiels de l’ophtalmologie. Le développement d’un curriculum normalisé à l’échelle du pays pourrait faire en sorte que les étudiants acquièrent, sur le plan du savoir et des capacités, la compétence requise pour la pratique clinique.