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4010712 Canadian Journal of Ophthalmology / Journal Canadien d'Ophtalmologie 2006 7 Pages PDF
Abstract

Background: The purpose of this study was to describe our experience with the clinical effects of molecular genetic testing for retinitis pigmentosa (RP) and related retinal dystrophies.Methods: Chart review of 303 consecutive patients with retinal dystrophies was done when blood was sent for molecular genetic testing between 1993 and 2001. Phenotype information was retrieved for patients with identified mutations. The yield of positive and clinically useful results was assessed.Results: Participants comprised 35 patients with Leber congenital amaurosis, 18 with Usher syndrome, and 250 with isolated RP or other retinal dystrophies. Of these 303 participants, 203 (67%) received positive or negative results of molecular testing for an average of 2.7 genes. Positive results were available in 19 patients after an average time interval of 38 ± 22 months (median 33 months, range 1–89 months). No results were received for 84 (28%) patients. In 16 (5%) cases, patients received partial results. Only 19 (6%) patients were found to have sequence changes in RHO, RDS, CRBI, or USH2A, 2 of which were thought to be disease-causing. Only 2 sequence changes were previously documented mutations, but several other novel changes were suspected to be disease-causing mutations also.Interpretation: Molecular testing was helpful only in the minority of cases, largely because of a lack of availability, as well as the complexity of the molecular genetics of RP. Improvements in funding, infrastructure, and molecular knowledge will be necessary to improve the transformation of molecular genetic testing into a clinically relevant bedside tool.

RésuméContexte: Cette étude a pour objet de décrire notre expérience concernant le résultat clinique des analyses génétiques moléculaires de la rétinite pigmentaire (RP) et des dystrophies rétiniennes qui lui sont apparentées.Méthodes: L’examen des dossiers de 303 patients consécutifs a été effectué au moment où le sang était envoyé à l’analyse génétique moléculaire entre 1993 et 2001. L’information phénotypique a été réunie pour les patients qui avaient des mutations identifiées. Les résultats positifs et cliniquement utiles ont été évalués.Résultats: La participation comprenait 35 patients atteints d’amaurose congénitale de Leber, 18 du syndrome d’Usher et 250 de RP isolée ou d’autres dystrophies rétiniennes. Parmi ces 303 patients, 203 (67 %) avaient reçu des résultats positifs ou négatifs de l’analyse moléculaire pour en moyenne 2,7 gènes. Les résultats positifs étaient disponibles pour 19 patients après un intervalle moyen de 38 ± 22 mois (moyenne 33 mois, écart 1–89 mois). Aucun résultat n’a été reçu pour 84 patients (28 %). Pour 16 cas (5 %), les patients avaient reçu des résultats partiels. On a trouvé des changements séquentiels de RHO, RDS, CRBI ou USH2A chez seulement 19 patients (6%), parmi les quels 2 auraient, pensait-on, causé la maladie. Seulement 2 changements séquentiels étaient alors des mutations documentés, mais on soupçonne que plusieurs autres nouveaux changements seraient aussi des mutations ayant causé la maladie.Interprétation: L’analyse moléculaire a aidé une minorité de cas seulement, surtout à cause du manque de disponibilité de même que de la complexité de la génétique.

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