Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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4091243 | Revue de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique | 2013 | 5 Pages |
Abstract
Nous rapportons le cas d'une patiente de 72 ans dont la reconstruction du radius distal après résection d'une tumeur à cellules géantes a été confiée à une prothèse massive. à trois ans de recul, la douleur était cotée à 2 sur 10. Les mobilités étaient de 20° en flexion, 70° en extension, 70° en pronation, 60° en supination, 20° en inclinaison radiale et 20 en inclinaison ulnaire. Le score du quick-DASH était de 52,27/100 et le score de Enneking de 83 %. La radiographie montrait une prothèse bien axée sans signe de descellement, avec une subluxation dorsale de la tête de l'ulna. à la lecture du résultat de ce cas clinique et des données de la littérature, la reconstruction du radius distal après résection « en bloc » d'une tumeur à cellules géantes par prothèse massive est une solution possible, à condition que la prothèse soit biocompatible, bipolaire et non contrainte.
Related Topics
Health Sciences
Medicine and Dentistry
Orthopedics, Sports Medicine and Rehabilitation
Authors
A. Hariri, S. Facca, A. Di Marco, P. Liverneaux,