| Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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| 4092719 | Science & Sports | 2015 | 5 Pages |
SummaryIntroductionThe aim of this study was to understand the attitude towards performance-enhancing drugs (PED) in Spanish Sport Sciences university students and whether it varied according to the type of sport practised (individual, team, or both).Synopsis of the factsDescriptive design was carried out by means of a validated measurement instrument to assess attitudes towards doping (Performance Enhancement Attitudes Scale [PEAS]) using a Likert scale from 1 (strongly disagree) to 6 (strongly agree) for different statements that support the use of doping in sport. In general, overall score (17–102) and mean score (1–6) of all the items was respectively 34.69 ± 9.31; 2.04 ± 0.55 (2 = disagree). Taking into account the type of sport practised, just for one item (“athletes have no alternative career choices, but sport”) significant differences were observed between individual sports (IS: 2.48) and the other groups team sports (TS: 2.07) and both types of sport (BS: 2.00), P = 0.015.ConclusionsSpanish Sport Sciences university students in general disagree with the use of performance enhancing drugs in competitive sport. For subjects who are not professionally involved in any sports, there are no differences in attitudes towards doping in relation to the type of sport practised (individual, team, or both).
RésuméIntroductionL’objectif de cette etude teat de comprendre le comportement d’étudiants d’universités espagnoles en sciences du sport vis-à-vis des produits dopants; il s’agissait de savoir si cette attitude variait en fonction du type de sport pratiqué (individuel, collectif ou les deux).ObservationsL’étude a été réalisée au moyen d’un instrument de mesure validé afin d’évaluer la posture individuelle des étudiants face au dopage (échelle des posture face à l’amélioration des performances), en utilisant une échelle de Likert variant de 1 (fortement en désaccord) à 6 (fortement en accord) pour les différents items qui traitent du recours potentiel au dopage dans le sport. En général, le score global (17–102) et moyen (1–6) de tous les items était, respectivement de 34,69 ± 9,31 et 2,04 ± 0,55 ; 2 = désaccord. Nous n’avons observé de différences significatives entre les sports que pour un seul des items (« les athlètes n’ont pas d’autres choix que la carrière sportive ») ; il s’agit d’une différence entre les pratiquants de sports individuels (IS : 2.48) et les sports collectifs (TS : 2,07), p = 0,015. En ce qui concerne les autres items, aucune différence significative n’a été observée entre les groupes.ConclusionLes étudiants d’universités espagnoles en sciences du sport sont en désaccord avec l’usage de produits dopants améliorant la performance lors d’une compétition. Pour les sujets qui ne sont pas engagés professionnellement dans l’un de ces sports, il n’y a pas de différences d’attitudes à l’égard des produits dopants en fonction du sport pratiqué (individuel, collectif ou les deux).
