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4220800 Canadian Association of Radiologists Journal 2012 5 Pages PDF
Abstract

PurposeTo establish local diagnostic reference levels (DRL) for typical radiographic examinations in a fully digital imaging institution.MethodsThe initial survey included 6 standard radiographic projections performed in 19 computed radiography (CR) and digital radiography (DR) rooms. Because of the expected difference in the performance, the local reference levels were analysed separately for those 2 modalities. Data of 226 average size adult patients were included in the analysis. Entrance surface dose (ESD) was calculated from the recorded radiographic techniques and tube radiation output measurements. After observing wide variations in the results of the patient survey, the examinations were repeated by using anthropomorphic phantoms. Initial efforts to understand the reasons for dose variations were focused on CR chest, abdomen, pelvis, and lumbar spine examinations.ResultsThe average size patient doses for similar examinations were lower in the DR rooms than in the CR rooms by factors that ranged from 1.2 to 3, with the exception of the chest examination. Standardization of the CR exposure index value allowed us to decrease ESD by 21%-30%. Detector sensitivity had an insignificant effect (2%) on ESD; proper collimation lowered the dose by 17%. However, the major effect, up to 46% difference, was found because of antiscatter grids cutoff.ConclusionModality specific local diagnostic reference levels for standard examinations have been established in a large digital imaging department with hybrid modalities. Typically the local reference values were lower than those recommended in Safety Code 35, except for CR chests. Factors that affect the dose variations have been investigated and determined.

RésuméObjectifÉtablir des niveaux de diagnostic de référence (NDR) pour des examens radiographiques courants réalisés dans un établissement entièrement converti à l’imagerie numérique.MéthodesL’étude initiale portait sur 6 projections radiographiques normales réalisées dans 19 salles de radiographie par ordinateur et de radiographie numérique. Vu la différence prévue sur le plan du rendement, les niveaux de référence locaux des deux modalités ont fait l’objet d’analyses distinctes. Celles-ci ont porté sur les données de 226 patients adultes de taille moyenne. La dose d’entrée (DE) a été calculée à partir des techniques radiographiques enregistrées et des mesures à la sortie du tube à rayons X. Les résultats des patients affichant d’importantes variations, les examens ont été repris en utilisant des fantômes anthropomorphiques. L’analyse initiale visant à expliquer les variations observables dans les doses s’est concentrée sur les examens du thorax, de l’abdomen, du bassin et de la colonne lombaire réalisés par radiographie par ordinateur.RésultatsLes doses moyennes par patient associées à des examens similaires sont moins élevées dans les salles de radiographie numérique que dans les salles de radiographie par ordinateur. L’écart est de l’ordre de 1,2 à 3, sauf dans le cas de l’examen du thorax. La normalisation de la valeur de l’indice d’exposition en radiographie par ordinateur a permis une réduction de la DE de l’ordre de 21 à 30 %. La sensibilité des détecteurs a un effet déterminant (2 %) sur la DE; une collimation adéquate a permis de réduire la dose de 17 %. L’effet le plus marqué (jusqu’à 46 %) s’explique cependant par la fermeture des grilles antidiffusantes.ConclusionDes niveaux de diagnostic de référence propres à chaque modalité pour des examens normalisés ont été établis dans un grand département d’imagerie numérique à modalités hybrides. Les valeurs de référence locales sont généralement moins élevées que celles recommandées dans le Code de sécurité 35, sauf dans le cas des radiographies par ordinateur du thorax. Les facteurs qui influent sur les variations des doses ont été analysés.

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