Article ID Journal Published Year Pages File Type
4220924 Canadian Association of Radiologists Journal 2011 5 Pages PDF
Abstract

PurposeTo assess the prevalence and nature of incidental findings (IF) seen in low-dose computed tomographies (LDCT) from a lung cancer screening study for at-risk individuals.Materials and MethodsRadiology reports from LDCTs of 4073 participants of a lung cancer screening study were retrospectively reviewed for findings other than lung nodules, that is, IFs, which were regarded as actionable. The frequency, nature, and expected cost of these IFs, and their anticipated follow-up were estimated.ResultsThere were 880 IFs described in 782 study participants (19%); the median age of the participants was 62 years (range, 46–80 years). More IFs were found in men (55%) than in women. The majority of these findings were noncardiovascular (76%), for which imaging was suggested for 74%. There were 7 severe IFs (0.8%) that merited immediate attention. Seven known cancers were diagnosed from follow-ups of the IFs. The majority of IFs (n = 486 [55%]) would require imaging follow-up if clinically indicated, with an estimated total a cost of CAN$45,500 to CAN$51,000 to provide initial diagnostic workup.ConclusionIFs on lung cancer screening studies are not uncommon and frequently require imaging or other follow-up for definitive diagnoses and to assess their clinical relevance. The implication of IFs has to be considered when determining a cost-effective and ethical protocol for the utilisation of LDCT in a high-risk population.

RésuméObjetÉvaluer la prévalence et la nature des constatations fortuites résultant de tomodensitométries à faible dose liées à une étude de dépistage du cancer du poumon chez des personnes à risque.Matériel et méthodesLes rapports radiologiques de tomodensitométries faits sur 4 073 participants pour une étude de dépistage du cancer du poumon en vue d'y effectuer des constatations autres que des nodules pulmonaires, c'est-à-dire des constatations fortuites considérées comme susceptibles de nécessiter un traitement ont été révisés. La fréquence, la nature et les coûts prévus de ces constatations fortuites et du suivi ont fait l'objet d'estimations.RésultatsOn a décrit 880 constatations fortuites chez 782 participants à l'étude (19 %); l'âge médian des participants était de 62 ans (fourchette de 46 à 80 ans). On a trouvé un plus grand nombre de constatations fortuites chez les hommes (55 %) que chez les femmes. La majorité de ces constatations étaient non cardiovasculaires (76 %), et on a suggéré un test d'imagerie pour 74 % d'entre elles. Sept constatations fortuites (0,8 %) graves ont exigé une attention immédiate. Sept cancers avérés ont été diagnostiqués à partir du suivi des constatations fortuites. La majorité des constatations fortuites (n = 486 [55 %]) exigeraient un suivi par imagerie si ce dernier était cliniquement indiqué, moyennant un coût total estimatif situé entre 45 500 $ et 51 000 $ CA pour une investigation diagnostique initiale.ConclusionLes constatations fortuites découlant des études de dépistage du cancer du poumon ne sont pas rares, et il faut fréquemment effectuer des tests d'imagerie et prendre d'autres mesures de suivi afin de poser un diagnostic définitif et d'évaluer leur pertinence clinique. Il faut envisager les éventuels effets des constatations fortuites au moment de déterminer un protocole rentable et éthique pour l'utilisation de la tomodensitométrie à faible dose au sein d'une population à risque élevé.

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