Article ID Journal Published Year Pages File Type
4220937 Canadian Association of Radiologists Journal 2009 6 Pages PDF
Abstract

PurposeTo evaluate the use of anxiolytics in adult outpatient magnetic resonance imaging (MRI) centres and to determine whether utilisation is optimal based on the pharmacology of the drugs used, who prescribes these drugs, and how patients are managed after administration.Materials and MethodsIdentical paper and Web-based surveys were used to anonymously collect data about radiologists' use of anxiolytic agents for adult outpatient MRI examinations. The survey questions were about the type of facility, percentage of studies that require sedation, the drug used and route of administration, who orders the drug, timing of administration, patient monitoring during and observation after the study, use of a dedicated nurse for monitoring, and use of standard sedation and discharge protocols. The χ2 analysis for statistical association among variables was used.ResultsEighty-five of 263 surveys were returned (32% response rate). The radiologist ordered the medication (53%) in slightly more facilities than the referring physician (44%) or the nurse. Forty percent of patients received medication 15–30 minutes before MRI, which is too early for peak effect of oral or sublingual drugs. Lorazepam was most commonly used (64% first choice). Facilities with standard sedation protocols (56%) were more likely to use midazolam than those without standard sedation protocols (17% vs 10%), to have a nurse for monitoring (P = .032), to have standard discharge criteria (P = .001), and to provide written information regarding adverse effects (P = .002).ConclusionsMany outpatients in MRI centres may be scanned before the peak effect of anxiolytics prescribed. A standard sedation protocol in such centres is associated with a more appropriate drug choice, as well as optimized monitoring and postprocedure care.

AbrégéButExaminer l'utilisation d'anxiolytiques chez les patients adultes externes de centres d'imagerie par résonance magnétique afin de déterminer s'ils sont administrés de façon optimale eu égard à l'action des médicaments, au prescripteur des médicaments ainsi qu'au type de suivi postadministration.Matériel et méthodesLes données sur l'utilisation, par les radiologistes, d'agents anxiolytiques sur des patients adultes externes devant subir des examens d'IRM ont été extraites de questionnaires en version papier et en ligne remplis sous le couvert de l'anonymat. Les questions visaient à connaître le type d'établissement, la proportion d'examens nécessitant une sédation, le médicament utilisé et le mode d'administration, le prescripteur, le moment où les médicaments sont administrés, la surveillance pendant et après l'examen, l'utilisation du personnel infirmier pour la surveillance et l'application de protocoles de sédation et de sortie. Une analyse χ2 a été effectuée pour établir les associations statistiques entre les variables.RésultatsQuatre-vingt-cinq des 263 questionnaires ont été retournés, ce qui représente un taux de participation de 32 %. Le nombre d'établissements où la sédation a été prescrite par le radiologiste (53 %) est légèrement supérieur à celui des établissements où le médecin orienteur (44 %) ou le personnel infirmier s'en est chargé. Dans 40 % des cas, le médicament a été administré au patient de 15 à 30 minutes avant l'IRM, soit trop tôt pour que les médicaments oraux ou sublinguaux agissent de façon optimale au moment opportun. Le lorazepam est le médicament le plus prescrit (premier choix dans 64 % des cas). Les établissements qui obéissent à des protocoles de sédation (56 %) sont plus susceptibles d'utiliser du midazolam que ceux qui n'en ont pas (17 % contre 10 %), de confier la surveillance au personnel infirmier (P = 0,032), d'avoir des critères standards de congé de patients (P = 0,001) et de fournir des renseignements écrits sur les effets indésirables des médicaments (P = 0,002).ConclusionsBon nombre de patients externes des centres d'IRM passent leur examen avant que les anxiolytiques prescrits n'aient atteint leur effet maximal. Le protocole de sédation en vigueur dans ces centres vise principalement l'administration des médicaments les plus appropriés ainsi que l'optimisation de la surveillance et des soins postintervention.

Related Topics
Health Sciences Medicine and Dentistry Radiology and Imaging
Authors
, , , , ,