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4221004 Canadian Association of Radiologists Journal 2010 4 Pages PDF
Abstract

ObjectiveControversy exists over the significance of the isolated finding of cavum septi pellucidi (CSP) and its prevalence rate in healthy individuals and in professional boxers. Few magnetic resonance imaging (MRI) studies have looked at large cohorts of boxers. The aim of this study was to identify the prevalence and extent of a CSP among professional boxers and to compare these with a control group.MethodsMRI studies of 164 male boxers scanned for annual British boxing board license renewal were reviewed and compared with 43 control patients. CSP prevalence, size, and extent were recorded. Extent was classified as type 1, anterior to the fornix; type 2, extending up to the fornix; and type 3, extending into the cavum vergae. Parenchymal abnormalities were documented, and the Evan's ratio was used as an indication of brain atrophy.ResultsA CSP was present in 40% of controls and 49% of boxers. There was a trend to a higher CSP prevalence in boxers (P = .099). No control patient had type 2 or 3 extension (P < .0009), as opposed to 30% and 16% prevalence in boxers. Three boxers increased their extent over serial imaging. No difference in CSP size was established between the 2 groups (P = .43), but there was an association between progressive scans and increased CSP size over time in boxers, independent of age (P = .05). Eight boxers demonstrated a CSP on a subsequent scan not seen on an earlier scan.ConclusionThe prevalence of a CSP is high among both control patients and boxers. There is a trend to a larger CSP with increasing number of scans without evidence of atrophy and independent of age. Boxers also have a greater posterior extent than controls. The findings may be explained by sudden increases in intracranial pressure that forced cerebrospinal fluid (CSF) through small defects in the septal leaflets, which result in an increase in size and or extent of a CSP.

AbrégéObjectifIl existe une controverse au sujet de l'importance de la découverte isolée d'un cavum septum pellucidum (CSP) et de son taux de prévalence chez les personnes en bonne santé et chez les boxeurs professionnels. Peu d'études d'imagerie par résonance magnétique (IRM) se sont penchées sur d'importantes cohortes de boxeurs. Cette étude avait pour but de déterminer la prévalence et l'étendue des CSP chez les boxeurs professionnels et de les comparer avec celles d'un groupe témoin.MéthodesLes études d'IRM de 164 boxeurs, tous des hommes, réalisées aux fins du renouvellement annuel de leur permis de boxe en Grande-Bretagne ont été examinées, puis comparées avec celles de 43 patients d'un groupe témoin. La prévalence, la taille et l'étendue des CSP ont été consignées. L'étendue était classée comme étant de type 1, antérieure au fornix, de type 2, s'étendant jusqu'au fornix, ou de type 3, s'étendant dans le cavum vergae. Les anomalies parenchymateuses ont été documentées et le rapport d'Evans a servi d'indicateur de l'atrophie cérébrale.RésultatsUn CSP était présent chez 40 % des personnes du groupe témoin et chez 49 % des boxeurs. La prévalence de CSP tendait à être plus élevée chez les boxeurs (P = 0,099). Aucun patient du groupe témoin ne présentait une étendue de type 2 ou 3 (P < 0,0009), comparativement à une prévalence de 30 % et 16 % respectivement chez les boxeurs. L'imagerie sérielle a augmenté l'étendue chez trois boxeurs. Aucune différence de taille de CSP n'a été constatée entre les deux groupes (P = 0,43), mais un lien a été établi entre les analyses successives et une augmentation de la taille de CSP au fil du temps chez les boxeurs, sans tenir compte de l'âge (P = 0,05). Huit boxeurs présentaient sur une image ultérieure un CSP qui n'avait pas été décelé sur une image antérieure.ConclusionLa prévalence de CSP est élevée chez les patients du groupe témoin et chez les boxeurs. Le CSP tend à augmenter avec le nombre d'images, sans preuve d'atrophie et sans tenir compte de l'âge. Les boxeurs présentent également une étendue postérieure plus grande que les personnes du groupe témoin. Les résultats peuvent s'expliquer par des augmentations soudaines de la pression intracrânienne qui poussent le liquide céphalorachidien dans de petites malformations des feuillets septaux, ce qui entraîne une augmentation de la taille et de l'étendue d'un CSP.

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Health Sciences Medicine and Dentistry Radiology and Imaging
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