Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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5663239 | Journal de Radiologie Diagnostique et Interventionnelle | 2012 | 9 Pages |
Abstract
Dans l'orchi-épididymite, l'échographie montre l'hypertrophie et l'hétérogénéité de l'épididyme et du testicule, avec une hypervascularisation au Doppler ; un abcès doit être surveillé échographiquement, pour ne pas méconnaître une tumeur nécrosée. Dans la prostatite, l'échographie est indiquée à la recherche d'une rétention vésicale et en cas d'échec du traitement (recherche d'obstacle, d'abcès, de pyélonéphrite). L'échographie endorectale analyse mieux le parenchyme, mais est d'un intérêt limité. La prostatite chronique est le principal diagnostic différentiel du cancer prostatique ; l'IRM de diffusion aide à les différencier. Pour les cystites, l'imagerie est indiquée lors des cystites récidivantes (recherche de facteurs favorisants), d'infections à germes non usuels (recherche de calcifications, d'emphysème, d'atteinte du haut appareil) et en cas de cystite pseudo-tumorale.
Keywords
Related Topics
Health Sciences
Medicine and Dentistry
Health Informatics
Authors
A. Schull, Q. Monzani, L. Bour, N. Barry-Delongchamps, F. Beuvon, P. Legmann, F. Cornud,