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6086560 Canadian Journal of Diabetes 2015 5 Pages PDF
Abstract

Self-management and self-management support are concepts very familiar to those of us in diabetes care. These concepts require openness to understanding the behaviours of persons with diabetes broadly, not only behaviours restricted to the biomedical perspective. Understanding the importance of health behaviour change and working within the Expanded Chronic Care Model define the context within which self-management support should occur. The purpose of this perspective is to identify a potential limitation in existing self-management support initiatives. This potential limitation reflects provider issues, not patient issues; that is, true self-management support might require changes by healthcare providers. Specifically, although behavioural interventions within the context of academic research studies are evidence based, behaviour change interventions implemented in general practice settings might prove less effective unless healthcare providers are able to shift from a practice based on the biomedical model to a practice based on the self-management support model.The purpose of this article is to facilitate effective self-management support by encouraging providers to switch from a model of care based on the expert clinician encountering the uninformed help seeker (the biomedical model) to one guided by collaboration grounded in the principles of description, prediction and choice. Key to understanding the value of making this shift are patient-centered communication principles and the tenets of complexity theory.

RésuméLa prise en charge autonome et le soutien à la prise en charge autonome sont des concepts très familiers à ceux d'entre nous qui offrent des soins aux diabétiques. Ces concepts exigent que nous soyons ouverts à la compréhension des comportements des personnes diabétiques, et non seulement que nous adoptions des comportements qui se limitent à la perspective biomédicale. La compréhension de l'importance du changement de comportement en matière de santé et des travaux réalisés au sein du Expanded Chronic Care Model définissent le contexte dans lequel le soutien à la prise en charge autonome devrait avoir lieu. L'objectif de cette perspective est d'établir la limite potentielle des initiatives existantes de soutien à la prise en charge autonome. Cette limite potentielle reflète les enjeux des prestataires, et non les enjeux des patients. En d'autres mots, le soutien à la prise en charge autonome pourrait exiger des prestataires de soins de santé de véritables changements. Particulièrement, bien que les interventions comportementales dans le contexte de la recherche universitaire soient fondées sur des données probantes, les interventions sur le changement de comportement qui ont été mises en place dans des milieux de pratique générale pourraient se révéler moins efficaces à moins que les prestataires de soins de santé soient en mesure de passer d'une pratique fondée sur le modèle biomédical à une pratique fondée sur le modèle de soutien à la prise en charge autonome.Le but du présent article est de faciliter un soutien efficace à la prise en charge autonome en encourageant les prestataires à passer d'un modèle de soins fondé sur le clinicien expert qui rencontre le requérant non informé (le modèle biomédical) à un modèle guidé par une collaboration reposant sur les principes de description, de prédiction et de choix. Les clés pour comprendre l'importance de cette transition sont les principes de la communication axée sur le patient et de la théorie de la complexité.

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Authors
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