Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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824321 | Comptes Rendus Mécanique | 2008 | 12 Pages |
In this article a comparison between two non-linear finite element approaches for the numerical estimation of the ultimate failure load of masonry arches is presented. According to the first model, the geometry of the arch is divided into a number of unilateral contact interfaces which simulate potential cracks. Opening or sliding for some of the interfaces indicates crack initiation. The second model uses two-dimensional finite elements for the simulation of the arch. When tensile stresses appear, upon an adaptive stepwise procedure, the corresponding elements are replaced by unilateral contact elements which represent cracks. In both models the fill over the arch, that could strongly affect the collapse behaviour increasing the bridge load carrying capacity, is taken into account. Moreover, the ultimate load and the collapse mechanism have been calculated by using a path-following (load incrementation) technique. Both models are developed and applied on a real scale masonry arch; results are comparable with both the experimental collapse mechanism and the ultimate load failure. To cite this article: M. Betti et al., C. R. Mecanique 336 (2008).
RésuméDans cet article, on présente une comparaison entre deux approches par éléments finis non-linéaires permettant d'estimer numériquement la charge ultime de ruine d'arches en maçonnerie. Dans le premier modèle, la géométrie de l'arche est divisée en un certain nombre d'interfaces de contact unilatéral qui simulent des fissures potentielles. L'ouverture ou le glissement sur certains de ces interfaces indiquent une initiation de fissure. Le second modèle utilise des éléments finis bidimensionnels pour la simulation de l'arche. Quand des contraintes de traction apparaissent, les éléments correspondants sont remplacés, suivant une procédure pas-à-pas adaptative, par des éléments de contact unilatéral qui représentent des fissures. Dans les deux modèles, on prend en compte le remplissage sur l'arche, qui peut affecter considérablement le comportement à la rupture en augmentant la capacité portante du pont. De plus, la charge limite et le mécanisme de ruine ont été calculés en utilisant une technique pas-à-pas tenant compte du trajet de chargement. Les deux modèles sont développés et appliqués à une arche en maçonnerie en vraie grandeur ; les résultats reproduisent bien tant le mécanisme de ruine expérimental et la charge limite de rupture. Pour citer cet article : M. Betti et al., C. R. Mecanique 336 (2008).