Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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8471460 | Immuno-analyse & Biologie Spécialisée | 2011 | 5 Pages |
Abstract
La glomérulonéphrite est la complication la plus grave du lupus érythémateux disséminé. Cette néphrite lupique peut évoluer par poussées qu'il faut traiter le plus tôt possible, voire prévenir. Son diagnostic est donc essentiel, ainsi que la surveillance du rein. Il s'agit d'une maladie auto-immune où plus d'une centaine d'auto-anticorps (Ac) ont été répertoriés ! Mais, certains d'entre eux, tels que les Ac anti-ADNnatif, les Ac antinucléosomes, les Ac anti-α-actinine et les Ac anti-C1q, semblent accompagner ou annoncer une atteinte rénale. Cette mise au point vise à communiquer les raisons du tropisme de ces auto-Ac pour les reins et, partant, d'en mesurer l'intérêt de chacun d'entre eux pour le diagnostic et la veille au long cours de la néphropathie lupique.
Related Topics
Life Sciences
Biochemistry, Genetics and Molecular Biology
Cell Biology
Authors
I. Ségalen, Y. Renaudineau, S. Hillion, C. Hanrotel, Y. Le Meur, P. Youinou,