Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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8697962 | International Orthodontics | 2018 | 13 Pages |
Abstract
Notre échantillon comptant 107 sujets est composé de 77 patients de sexe féminin (71,3 %) et 30 de sexe masculin (27,8 %) ; 7 hypodivergents (6,5 %), 56 hyperdivergents (52,3 %) et 44 normodivergents (41,1 %). L'âge des patients a été de 19,35 ± 5,95 ans. Les hypodivergents ont présenté des courbes de Spee plus marquées par rapport aux normodivergents et aux hyperdivergents, les patients en Classe I squelettique ont présenté des courbes de Spee moins importantes par rapport aux patients en Classe II et Classe III squelettiques. Ces différences ont été non significatives (p > 0,05). La courbe de Spee a été corrélée positivement et moyennement avec la classe d'Angle, le surplomb horizontal, le surplomb vertical, la distance sellion-articulare et la respiration (p < 0,05). Nous n'avons pas trouvé de corrélation entre l'âge, le sexe et les autres paramètres de l'étude avec la courbe de Spee (p > 0,05). Au total, 75 % des hyperdivergents ayant une respiration buccale ont présenté un recouvrement de 3 mm, ce qui est relativement exagéré en fonction des caractéristiques souvent admises de cette typologie, paramètre qui pourrait expliquer la présence des supraclusions chez la population hyperdivergente étudiée. En analyse multivariée, le surplomb vertical et la distance sellion-articulare sont restés indépendamment liés à la courbe de Spee en fonction de la respiration, de la classe d'Angle et du surplomb horizontal. Ce modèle de régression explique 21,4 % des variations de la courbe de Spee.
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Health Sciences
Medicine and Dentistry
Dentistry, Oral Surgery and Medicine
Authors
Abdelali Halimi, Hicham Benyahia, Mohamed-Faouzi Azeroual, Loubna Bahije, Fatima Zaoui,