| Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
|---|---|---|---|---|
| 895422 | Revue Européenne de Psychologie Appliquée/European Review of Applied Psychology | 2015 | 9 Pages |
IntroductionDelivering psychotherapy by videoconference could considerably extend the accessibility of empirically validated treatments.ObjectiveThe aim of this study was to evaluate the efficacy of a cognitive-behavioural therapy (CBT) for generalized anxiety disorder (GAD), administered via videoconference.MethodFive participants with a primary diagnosis of GAD took part in an experimental multiple baseline case study protocol. The efficacy of the treatment was evaluated using a semi-structured interview, self-report questionnaires, and daily self-monitoring diaries.ResultsThe results demonstrate that overall, participants’ conditions were improved following treatment and they no longer met the diagnostic criteria for GAD in the short-term. Participants’ conditions improved clinically and statistically at each follow-up point, achieving a greater global level of functioning at post-test, as well as at 3-month and 12-month follow-up.ConclusionClinical implications of this new treatment modality and directions for future research are discussed.
RésuméIntroductionOffrir des services de psychothérapie par l’entremise de systèmes de visioconférence pourrait améliorer considérablement l’accès à des traitements psychologiques empiriquement validés.ObjectifCette étude tente d’évaluer l’efficacité d’une thérapie cognitive comportementale (TCC) pour le trouble d’anxiété généralisée (TAG) administrée en visioconférence.MéthodeCinq individus souffrant d’un TAG ont pris part à un protocole expérimental à cas uniques à niveaux de base multiples. L’efficacité du traitement a été évaluée à l’aide d’une entrevue semi-structurée, des questionnaires auto-rapportés et des carnets d’auto-observations quotidiennes.RésultatsLes résultats démontrent que, dans l’ensemble, les participants fonctionnent mieux à la suite du traitement. À court terme, ils n’ont plus de diagnostic de TAG. Pour l’ensemble des participants, on observe une amélioration de leur condition, à la fois statistiquement et cliniquement, et ce, à tous les moments de mesure. Entre autres, ils atteignent pour la plupart un niveau de fonctionnement global élevé au post-test ainsi qu’aux suivis de 3 et 12 mois.ConclusionLes implications cliniques de cette nouvelle modalité de traitement et des pistes de recherches futures sont proposées.
