Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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9210339 | Implantodontie | 2005 | 6 Pages |
Abstract
L'usage des implants latéraux permet aujourd'hui de doter presque tous les patients de dentiers fixes à supports endo-osseux sans nécessiter d'augmentation des crêtes [1]. Il peut toutefois arriver que des implants initialement bien intégrés présentent une mobilité inattendue lors du fonctionnement effectif du système os-implant-restauration. De nombreux développements peuvent être impliqués ici et peuvent tous aboutir, isolément ou en combinaison, à une surcharge de l'interface entre l'os et l'implant endo-osseux [2]. Il en résulte dans un premier temps une mobilité accrue, sans que l'ostéo-intégration des implants au sens strict soit immédiatement compromise. Dans certains cas, la toxine botulique peut être employée à titre thérapeutique pour favoriser la stabilisation de l'interface entre l'os et les implants et la reminéralisation. Le présent article décrit certains aspects de la physiologie osseuse en vue de justifier l'utilisation de la toxine botulique dans le traitement de reprise, et les illustre de deux cas cliniques.
Keywords
Related Topics
Health Sciences
Medicine and Dentistry
Dentistry, Oral Surgery and Medicine
Authors
S. (Professeur associé),