Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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9302541 | La Presse Médicale | 2005 | 8 Pages |
Abstract
Points essentielsâLa physiopathogénie de plusieurs maladies auto-immunes est mal connue.âLes données expérimentales et cliniques suggèrent que l'intensification thérapeutique et la greffe de cellules souches hématopoïétiques pourraient offrir un traitement alternatif pour certaines maladies auto-immunes sévères.âL'idée de restaurer le système immunitaire par un tel traitement semble être correcte, au moins en partie, car les résultats obtenus chez 466 patients greffés depuis 6 ans pour différentes maladies auto-immunes (445 autogreffes, 21 allogreffes) ont montré des réponses significatives dans 2/3 des cas.âPour améliorer l'efficacité et la sécurité de ce traitement intensif chez des patients dont les organes vitaux sont affectés par la maladie auto-immune sous-jacente, il est important de suivre les recommandations du consensus international et de rapporter les résultats cliniques à la base centrale de données de la Société européenne de greffe de moelle (EBMT) International Stem Cell Project for Autoimmune Diseases à Bâle/Suisse.âLes études de phase III pour la sclérodermie systémique (Astis : Autologous Stem cell Transplantation International Scleroderma Trial) et pour la polyarthrite rhumatoïde (Astira : Autologous Stem cell Transplantation International Rheumatoid Arthritis Trial) ont débuté en 2003.âUn projet d'étude existe pour la sclérose en plaques (Astims : Autologous Stem cell Transplantation International Multiple Sclerosis).
Related Topics
Health Sciences
Medicine and Dentistry
Medicine and Dentistry (General)
Authors
Z. Marjanovic, I. Gerber, C. Toledano, J. hen-Solal, R. Damade, I. de Saint-Cyr, F. Sarrot-Reynauld, D. Ilié, M. Daneshpouy, N. Mounier, M. Ruivard, C. Tyndall, E. Vidal, I. Quere, J.-M. Durand, J. Constans, D. Farge,