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1097662 Ethics, Medicine and Public Health 2015 12 Pages PDF
Abstract

RésuméCe texte vous invite à une nouvelle éthique afin de comprendre nos morts, de comprendre nos corps et de comprendre nos cognitions sur le sujet essentiel : nous voulons garder notre libre arbitre sur la mort et notre néantisation. Si l’utilisation de la philosophie, de la métaphysique et de la sociologie compréhensive se perçoit dans les lignes, c’est pour mieux accepter la discussion ouverte, faisant la preuve que des gens ont ou auront œuvré apportant les prémisses d’un fondement à mes pensées. Pour une certitude en politique globale, je ferai sentir et ajouter à l’article 1 mais, je n’y reviendrai pas : article premier1 : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits et auront le pouvoir de choisir le temps de leur vie. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ». L’interrogation, la seule qui vaille, fournit la problématique : sommes-nous libres de mourir quand nous voulons, quel que soit notre état financier, physique ou mental ? La recherche présentée traite par quels moyens nous pouvons confirmer les possibilités de « récupérer nos corps » face à l’acte final. J’ai eu en premier à débattre sur ce qui, à mon sens, a disparu du langage courant collectif pendant les périodes moderne, postmoderne (existe-t-elle ?), contemporaine, à savoir s’imprégner, très tôt, de cette idée ordinaire que, tous les matins, la Vie combat la Mort. Dans nos imaginaires, thème du second développement, cette notion s’accompagne de l’image du souffle nécessaire à la jouissance de la vie jusqu’à l’image du dernier souffle, constat identitaire de la Mort ordinaire. Poursuivre ce propos engagé nécessite une autre intention développée pour une défense de l’Être, en un préambule très court. Il est sans aucun intérêt de vouloir se positionner en tant que maître, professeur ou père, ne serait-ce que pour la moindre raison alléguée, supprimant tout velléité de référence ou de vouloir être référent. En troisième partie, considérer qu’après une Mort, les idées et les écrits transmis soient des postulats engendre dans l’esprit une situation de faiblesse. L’auteur traite de cela dans les paradoxes. Il faut se mettre à l’idée de ce vouloir vivre avec l’entourage sans avoir à le dominer de quelques façons que cela puisse être. En conclusion, par les écrits antérieurs et les développements actuels, la figure et les représentations de la Mort retrouvent les mêmes accents d’un vouloir qui émerge de toutes discussions abordant ce sujet d’évidence : il faut la Mort pour être en vie, à nous de choisir nos destinées.

SummaryThis text invites you to a new ethic to understand our dead, to understand our body and understand our cognitions on the essential issue: we want to keep our agency over death and our annihilation. All that spring from everyday life, the mundane and the ordinary. If the use of philosophy, metaphysics and comprehensive sociology is perceived in the lines, it is better to accept open discussion, demonstrating that people have or will have worked providing the premises of a foundation in my opinion. For a comprehensive policy certainty, I will evoke and add to Article 1 but I will not return: article, the 1st2: “All human beings are born free and equal in dignity and rights and have the power to choose the time of their lives. They are endowed with reason and conscience and should act towards one another in a spirit of brotherhood”. The interrogation, the only worthwhile, provided the problem: are we free to die when we want, whatever our financial, physical or mental status? The research presented addresses the means by which we can confirm the opportunities to “recover our bodies” against the final act. I had first to discuss what, in my opinion, disappeared from the collective everyday language during modern times, postmodern (does it exist?), contemporary, namely soak very early this ordinary idea that every morning, Life fights Death. In our imaginations, the second topic to be developed, this concept accompanies the picture of the necessary breath for enjoyment of life to the image of the last breath, finding identity of ordinary DEATH. Continuing this commitment requires about another intention developed for defense of Being, in a very short preamble. There is no interest to want to adopt the position of master, teacher or father, be it for any reason, removing any reference or hint of wanting to be referent. In the third part, considering that after death, the ideas and writings are transmitted assumptions engender in the mind a situation of weakness. The author discusses this in paradoxes. You have to put the idea of wanting to live with the environment without having to dominate in any ways whatsoever. In conclusion, in the writings from former and current developments, the figure and representation of Death found the same accents of the will that emerges from all discussions addressing the subject of evidence: DEATH is a must to be alive, we choose our destinies.

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