| Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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| 2475706 | Actualités Pharmaceutiques | 2013 | 4 Pages |
La sécheresse oculaire, pathologie ophtalmique fréquente, ne doit pas être prise à la légère au comptoir. Si l’âge avancé et la ménopause en sont les facteurs le plus souvent rencontrés, des médicaments peuvent aussi en être responsables. La prise en charge repose sur l’adoption de règles d’hygiène, mais fait aussi largement appel à l’utilisation de substituts lacrymaux plusieurs fois par jour. Dans des situations plus graves, des traitements tels que des anti-inflammatoires locaux (AINS ou corticoïdes), des immunosuppresseurs ou des antibiotiques peuvent être prescrits. Dans tous les cas, le pharmacien se doit d’accompagner au mieux le patient concerné.
A patient complaining of dry eyes. Dry eye syndrome or keratitis sicca, a common eye complaint, must not be taken lightly at the pharmacy. While old age and the menopause are the most common factors, medication can also be responsible. Treatment is based on ensuring strict hygiene, as well as on the use of tear substitutes to be used several times a day. In more serious cases, treatments such as local anti-inflammatory drugs (NSAIDs or corticoids), immune suppressants or antibiotics can also be prescribed. In all cases the pharmacist must provide the best possible support to the patient concerned.
