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2721717 Canadian Journal of Cardiology 2015 9 Pages PDF
Abstract

BackgroundGenetic investigations have established that mutations in proteins of the contractile unit of the myocardium, known as the sarcomere, may be associated with hypertrophic cardiomyopathy (HCM), restrictive cardiomyopathy (RCM), and dilated cardiomyopathy (DCM). It has become clinical practice to offer genetic testing in affected individuals to identify causative mutations, which provides the basis for presymptomatic testing of relatives who are at risk of disease development. This ensures adequate clinical follow-up of mutation carriers, whereas noncarriers can be discharged. However, before genetic testing can be used for individual risk assessment and prediction of prognosis, it is important to investigate if there is a relation between the clinical disease expression (phenotype) of the condition and mutations in specific disease genes (genotype).MethodsWe reviewed the literature in relation to phenotypic features reported to be associated with mutations in cardiac troponin I (cTnI; TNNI3), which is a recognized sarcomeric disease gene in all 3 cardiomyopathies.ResultsThe results of this review did not identify specific genotype-phenotype relations in HCM or DCM, and cTnI appeared to be the most frequent disease gene in RCM.ConclusionsTo further explore if there is a genotype-phenotype relation, long-term follow-up studies are needed. It is essential to investigate the natural history of the condition among affected individuals and to provide clinical follow-up on disease development among healthy mutation carriers. Such information is required to provide evidence-based counselling for affected families and to elucidate if knowledge about specific genotypes can be used in future risk prediction models.

RésuméIntroductionLes enquêtes génétiques ont établi que des mutations des protéines de l’élément contractile du myocarde, connu sous le nom de sarcomère, peuvent être associés à une cardiomyopathie hypertrophique (CMH), une cardiomyopathie restrictive (CMR), et une cardiomyopathie dilatée (CMD). Il est devenu courant en pratique clinique de proposer des tests génétiques chez les individus atteints afin d'identifier des mutations causales, qui fournissent la base pour un dépistage présymptomatique de membres de la famille qui sont à risque de développer la maladie. Cela garantit un suivi clinique adéquat des porteurs de la mutation, alors que les non-porteurs peuvent en être dispensés. Cependant, avant que le test génétique puisse être utilisé pour l'évaluation du risque individuel et la prédiction du pronostic, il est important d'étudier s’il existe une relation entre l'expression clinique de l'état de la maladie (phénotype) et les mutations de gènes spécifique à la maladie (génotype).MéthodesNous avons examiné la littérature se rapportant aux caractéristiques phénotypiques connues pour être associées à des mutations de la troponine I cardiaque (cTnI; TNNI3), qui est un gène de la maladie de protéine sarcomérique identifiée dans chacune des 3 cardiomyopathies.RésultatsLes résultats de cet examen ne permettent pas d'identifier les relations spécifiques génotype-phénotype pour les CMH ou les CMD, alors que la cTnI semblait correspondre au gène de la maladie le plus fréquent pour les CMR.ConclusionsPour explorer davantage l’existence d’une relation génotype-phénotype, des études de suivi à long terme sont nécessaires. Il est essentiel d'étudier l'histoire naturelle de la maladie chez les personnes touchées et de fournir un suivi clinique du développement de la maladie chez les porteurs sains de la mutation. Ces informations sont nécessaires pour fournir des conseils fondés sur des constatations pour les familles touchées et pour démontrer si les connaissances sur des génotypes spécifiques peuvent être utilisées dans les futurs modèles de prédiction du risque.

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