Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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2721735 | Canadian Journal of Cardiology | 2015 | 6 Pages |
Cardiovascular and renal disease are highly prevalent in Canada's Aboriginal population even though rates of cardiovascular disease are falling in the rest of the country. High and rising prevalence rates of diabetes must be addressed to impact significantly on global cardiovascular and renal risk. Type 2 diabetes is occurring in Aboriginal youth, putting them at greater risk of long-term complications. The reasons for the sudden upswing in diabetes rates in the past 60 years are a result in large part to social determinants of health, which for Aboriginal people include the multigenerational effects of colonization and consequences of the residential school system. Addressing cardiovascular and renal risk therefore requires the knowledge and skills to implement clinical practice guideline–based interventions, the ability to create culturally safe chronic disease management programs in partnership with Aboriginal communities, and advocacy across sectors for improvements in the social determinants of health.
RésuméLes maladies cardiovasculaires et rénales ont une prévalence élevée dans la population autochtone du Canada, malgré des taux de maladies cardiovasculaires en baisse dans le reste du pays. Les taux élevés et de hausse de la prévalence du diabète doivent être considérés pour leur impact significatif sur le risque cardiovasculaire global et rénal. Le diabète de type 2 touche les jeunes autochtones, les mettant plus à risque de complications à long terme. Les raisons de la soudaine hausse des taux de diabète des 60 dernières années sont dues en grande partie à des déterminants sociaux de la santé qui, concernant les peuples autochtones, comprennent les effets multigénérationnels de la colonisation et les conséquences du système des pensionnats. Aborder le risque cardiovasculaire et rénal nécessite donc les connaissances et les compétences pour mettre en œuvre des interventions basées sur un guide de pratique clinique, la capacité à créer des programmes de gestion des maladies chroniques culturellement sûrs en partenariat avec les communautés autochtones, et de plaider dans tous les secteurs pour des améliorations dans les déterminants sociaux de la santé.