Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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2721823 | Canadian Journal of Cardiology | 2014 | 6 Pages |
Renal denervation is a novel catheter-based, percutaneous procedure using radiofrequency energy to ablate nerves within the renal arteries. This procedure might help to significantly lower blood pressure (BP) in patients with resistant hypertension, defined as BP > 140/90 mm Hg (> 130/80 mm Hg for those with diabetes) despite use of ≥ 3 optimally dosed antihypertensive agents, ideally including 1 diuretic agent. The Canadian Hypertension Education Program Recommendations Task Force reviewed the current evidence on safety and efficacy of this procedure. Eleven studies on renal denervation were examined and most of the evidence evaluating renal denervation was derived from the Symplicity studies. In patients with systolic BP ≥ 160 mm Hg (≥ 150 mm Hg for patients with type 2 diabetes) despite use of ≥ 3 antihypertensive agents, bilateral renal denervation was associated with significantly lower BP (−22/11 to −34/13 mm Hg) at 6 months with a low periprocedural complication rate. Few patients underwent 24-hour ambulatory BP monitoring and ambulatory BP monitoring showed more modest BP lowering (0 to −11/7 mm Hg). Although early results on short-term safety and blood pressure-lowering are encouraging, there are no long-term efficacy and safety data, or hard cardiovascular end point data. The discrepancy between office BP reductions and 24-hour ambulatory BP monitor reductions needs to be further investigated. Until more data are available, renal sympathetic denervation should be considered as a treatment option of last resort for patients with resistant hypertension who have exhausted all other available medical management options.
RésuméLa dénervation rénale est une nouvelle intervention percutanée par cathéter utilisant l'énergie des radiofréquences pour procéder à l'ablation des nerfs dans les artères rénales. Cette intervention pourrait aider à diminuer significativement la pression artérielle chez les patients ayant une hypertension résistante, soit une pression artérielle > 140/90 mm Hg (> 130/80 mm Hg chez les diabètiques) en dépit de l'utilisation de doses optimales ≥ 3 agents antihypertenseurs, qui inclut idéalement 1 agent diurétique. Le groupe de travail sur les recommandations du Programme éducatif canadien sur l'hypertension a passé en revue les données scientifiques actuelles sur l'innocuité et l'efficacité de cette intervention. Onze (11) études sur la dénervation rénale ont été examinées et la plupart des données évaluant la dénervation rénale ont été dérivées des études Symplicity. Chez les patients ayant une pression artérielle systolique ≥ 160 mm Hg (≥ 150 mm Hg chez les patients ayant le diabète de type 2) en dépit de l'utilisation de ≥ 3 agents antihypertenseurs, la dénervation rénale bilatérale a été associée à une pression artérielle significativement plus basse (−22/11 à −34/13 mm Hg) à 6 mois, montrant un taux de complications péri-interventionnelles faible. Quelques patients ont eu un monitorage ambulatoire de la pression artérielle des 24 heures, et un monitorage ambulatoire de la pression artérielle a montré une plus modeste diminution de la pression artérielle (0 à −11/7 mm Hg). Bien que des résultats précoces sur l'innocuité à court terme et la diminution de la pression artérielle soient encourageants, il n'existe ni efficacité à long terme ni de données sur l'innocuité ou de données objectives sur les critères de jugement cardiovasculaires. La différence entre les réductions de la pression artérielle au cabinet du médecin et les réductions du monitorage ambulatoire de la pression artérielle des 24 heures doit davantage être examinée. Jusqu'à ce que plus de données soient disponibles, la dénervation sympathique rénale devrait être considérée comme une option de traitement de dernier recours chez les patients ayant une hypertension résistante qui ont épuisé toutes les autres options de prise en charge médicale disponibles.