Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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2721825 | Canadian Journal of Cardiology | 2014 | 11 Pages |
Percutaneous coronary intervention is the most prevalent method for coronary artery revascularization. Initial interventions using balloon angioplasty had limited efficacy because coronary dissections, arterial recoil, and neointimal formation led to high rates of abrupt vessel closure and clinical restenosis. With the introduction of coronary stents, vascular dissections were stabilized and arterial recoil was eliminated, but neointimal accumulation remained problematic, resulting in the development of in-stent restenosis (ISR) in 20%-30% of cases. Drug-eluting stents (DESs) were developed to release antiproliferative agents at the site of arterial injury to attenuate neointimal formation. Although DESs have incrementally improved outcomes after percutaneous coronary intervention, delayed re-endothelialization and stent thrombosis remain important challenges. Herein we review the pathophysiology of ISR, stent thrombosis, and briefly summarize the clinical evidence behind first- and second-generation DESs. Moreover, we discuss advancements in our understanding of the pathogenesis of ISR and potential novel therapeutic strategies to improve clinical outcomes.
RésuméL’intervention coronarienne percutanée est la méthode de revascularisation coronarienne la plus répandue. Les interventions initiales au moyen de l’angioplastie par cathéter á ballonnet avaient limité l’efficacité puisque les dissections de l’artère coronaire, le recul de la paroi artérielle et la formation néointimale ont mené à des taux élevés de fermeture abrupte d’un vaisseau et de resténose clinique. Par l’introduction d’endoprothèses coronaires, les dissections vasculaires étaient stabilisées et le recul de la paroi artérielle était éliminé, cependant l’accumulation néointimale demeurait problématique, entraînant le développement de la resténose intrastent (RIS) dans 20 % à 30 % des cas. Les endoprothèses médicamentées (EM) étaient conçues pour libérer les agents antiprolifératifs au site de la lésion artérielle afin d’atténuer la formation néointimale. Bien que les EM aient progressivement amélioré les résultats après l’intervention coronarienne percutanée, le retard de réendothélialisation et la thrombose d’endoprothèse restent des enjeux importants. Ici, nous passons en revue la physiopathologie de la RIS, la thrombose d’endoprothèse, et nous résumons brièvement les données cliniques qui sous-tendent l’utilisation des EM de première et de deuxième génération. De plus, nous discutons des progrès dans notre compréhension de la pathogenèse de la RIS et des nouvelles stratégies thérapeutiques potentielles pour améliorer les résultats cliniques.