Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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2722038 | Canadian Journal of Cardiology | 2011 | 6 Pages |
BackgroundPatients presenting with non-ST–elevation acute coronary syndrome (NSTE-ACS) and unprotected left main coronary disease (ULMCD) are among the highest risk patients but current consensus guidelines do not address the optimal timing and mode of revascularization for these individuals.MethodsIn this single-centre registry, we evaluated the clinical outcomes of 151 consecutive patients with NSTE-ACS and ULMCD who underwent percutaneous coronary intervention with drug-eluting stents from 2005 to 2009.ResultsOverall in-hospital major adverse cardiac event (MACE) rate was 5.3%, mortality rate was 0.7%. At 30 months ± 15 months, 30 patients (19.9%) experienced MACE. The 4-year cumulative survival rate of no MACE was 73.2% and cumulative survival rate was 90.6%. Left ventricular ejection fraction (hazard ratio [HR] 0.947; 95% confidence interval [CI], 0.898-0.998; P = 0.043) and SYNTAX [SYNergy between percutaneous coronary intervention with TAXus and cardiac surgery] score ≥ 33 (HR 1.28; 95% CI, 1.025-1.433; P = 0.029) were associated with MACE, while only left ventricular ejection fraction (HR 0.82; 95% CI, 0.69-0.973; P = 0.023) was associated with mortality.ConclusionsOur study demonstrates the feasibility of percutaneous coronary intervention with drug-eluting stents in patients with NSTE-ACS and ULMCD. The early and long-term outcomes were acceptable. Left ventricular ejection fraction and SYNTAX score ≥ 33 predict MACE and only left ventricular ejection fraction predicts mortality.
RésuméIntroductionLes patients qui présentent un syndrome coronarien aigu (SCA) sans sus-décalage du segment ST et une maladie du tronc coronarien gauche non protégé (maladie du TCGNP) sont parmi les patients à risque le plus élevé, mais les lignes directrices consensuelles actuelles ne tiennent pas compte du moment optimal et du mode de revascularisation pour ces individus.MéthodesDans ce registre unicentrique, nous avons évalué les résultats cliniques de 151 patients consécutifs avec un SCA sans sus-décalage du segment ST et une maladie du TCGNP qui ont subi une intervention coronarienne percutanée réalisée avec une endoprothèse à élution de médicaments de 2005 à 2009.RésultatsLe taux de l'ensemble des événements cardiaques indésirables majeurs (ÉCIM) intrahospitaliers a été de 5,3 % et le taux de mortalité a été de 0,7 %. À 30 mois ± 15 mois, 30 patients (19,9 %) ont expérimenté des ÉCIM. Le taux de survie cumulatif après 4 ans sans ÉCIM a été de 73,2 % et le taux de survie cumulatif a été de 90,6 %. La fraction d'éjection ventriculaire gauche (rapport de risque [RR] 0,947; intervalle de confiance [IC] de 95 %, 0,898-0,998; P = 0,043) et le score SYNTAX ≥ 33 (RR 1,28; IC de 95 %, 1,025-1,433; P = 0,029) ont été associés aux ÉCIM, tandis que seule la fraction d'éjection ventriculaire gauche (RR 0,82; IC de 95 %, 0,69-0,973; P = 0,023) a été associée à la mortalité.ConclusionsNotre étude démontre la faisabilité d'une intervention coronarienne percutanée avec une endoprothèse à élution de médicaments chez les patients avec un SCA sans sus-décalage du segment ST et une maladie du TCGNP. Les résultats immédiats et à long terme étaient acceptables. La fraction d'éjection ventriculaire gauche et le score SYNTAX ≥ 33 prédisent les ÉCIM et seule la fraction d'éjection ventriculaire gauche prédit la mortalité.