Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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2726987 | Canadian Journal of Cardiology | 2013 | 13 Pages |
Improved diagnostic techniques have identified various biomarkers that might play an important role in prediction of atrial fibrillation (AF) and related outcomes (cardio- and cerebrovascular events, and mortality and rhythm outcomes). Biomarkers can include blood markers (eg, von Willebrand factor, D-dimer, natriuretic peptides, etc), urine (eg, proteinuria, estimated glomerular filtration rate, or creatinine clearance), cardiac imaging (echocardiography; transthoracic or transoesophageal), or cerebral imaging (eg, computed tomography or magnetic resonance imaging), which can provide additional refinement to clinical stroke risk stratification for identification of “high risk” subjects. Although inclusion of some blood-based biomarkers (eg, von Willebrand factor, D-dimer) in existing clinical stroke risk stratification schemes might improve their predictive value for identifying “high risk” patients, this concept might be outdated and overtaken by new developments in thromboprophylaxis (which now focus on initial identification of “low risk” patients who do not need any antithrombotic therapy, followed by patients with 1 or more stroke risk factors, to whom anticoagulation can be offered), and additional questionable practicality in “everyday” practice. Biomarkers could be applied as a “rule out” approach or as surrogates of anticoagulation efficacy in trials of new antithrombotic strategies. The present review aims to provide an update of the role of biomarkers in AF, with particular focus on AF outcomes.
RésuméL’amélioration des techniques diagnostiques a permis de découvrir divers biomarqueurs susceptibles de jouer un rôle important dans la prédiction de la fibrillation auriculaire (FA) et de son évolution (événements cardiovasculaires et cérébrovasculaires, et l'évolution de la mortalité et du rythme). Les biomarqueurs peuvent inclure les marqueurs sanguins (p. ex. le facteur de von Willebrand, le D-dimère, les peptides natriurétiques, etc.), l'urine (p. ex. la protéinurie, l'estimation du débit de filtration glomérulaire ou la clairance de la créatinine), l'imagerie cardiaque (échocardiographie transthoracique ou transœsophagienne) ou l'imagerie cérébrale (p. ex. la tomodensitométrie ou l'imagerie par résonance magnétique), qui peuvent permettre d'améliorer la stratification du risque clinique de l'accident vasculaire cérébral (AVC) afin de repérer les sujets « à risque élevé ». Bien que l'inclusion de certains biomarqueurs sanguins (p. ex. le facteur de von Willebrand et le D-dimère) au schéma existant de la stratification du risque clinique d'AVC puisse améliorer leur valeur prédictive pour le repérage des patients « à risque élevé », ce concept pourrait être périmé et dépassé par les nouveaux développements dans le domaine de la thromboprophylaxie (qui met maintenant l'accent sur le repérage initial des patients « à risque faible » n'ayant besoin d'aucun traitement antithrombotique, puis sur le repérage des patients ayant 1 facteur de risque ou plus d'AVC, et auxquelles l'anticoagulation peut être offerte), et la praticabilité contestable additionnelle dans la pratique « de tous les jours ». Les biomarqueurs pourraient être appliqués comme une approche « d'exclusion » ou comme substituts de l'efficacité de l'anticoagulation aux essais sur les nouvelles stratégies antithrombotiques. Le présent article a pour but de fournir une mise à jour du rôle des biomarqueurs dans la FA, en mettant plus particulièrement l’accent sur l'évolution de la FA.