Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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2727081 | Canadian Journal of Cardiology | 2013 | 5 Pages |
BackgroundContrast-induced nephropathy (CIN) is an important cause of iatrogenic morbidity and mortality. The amount of contrast delivered has a major effect on CIN and is operator-dependent. A few studies suggested that the use of automated contrast injection systems is associated with reduced contrast volume. It is unknown whether this is true when smaller amounts of contrast are used and how this is affected by training.MethodsVolume of contrast media was measured in 1358 consecutive patients undergoing diagnostic catheterization and percutaneous coronary intervention (PCI) from January 31 to May 31, 2011. Patients were allocated to manual stopcock-manifold contrast injection (1052 patients) or automated contrast injection (306 patients).ResultsNo significant difference in contrast volume use was found between manual and automated contrast injection systems, respectively: diagnostic catheterization, 72 ± 40 mL vs 96 ± 63 mL (P = 0.08); diagnostic catheterization with left ventricular angiography, 98 ± 40 mL vs 95 ± 35 mL (P = 0.51); PCI, 206 ± 82 mL vs 205 ± 90 mL (P = 0.84); diagnostic catheterization and PCI, 264 ± 83 mL vs 253 ± 93 mL (P = 0.51). No significant difference in CIN incidence, according to contrast injection systems, was found among patients receiving PCI (manual 9.8% vs automated 7.4%, P = 0.43). Using smaller sized catheters during diagnostic procedures was associated with injection of smaller amounts of contrast (P < 0.0001).ConclusionsThe use of automated contrast injection for diagnostic catheterization and PCI is not associated with reduced contrast volume as compared with manual injection. The use of smaller calibre catheters might reduce contrast volume.
RésuméIntroductionLa néphropathie induite par les produits de contraste (NIPC) est une cause importante de morbidité et de mortalité iatrogènes. La quantité de produits de contraste utilisés a un effet majeur sur la NIPC et dépend du radiologue. Quelques études suggèrent que l’utilisation des systèmes d’injection automatique de produits de contraste est associée à la réduction du volume de produit de contraste utilisé. On ignore si cela est vrai lorsque de plus petites quantités de produits de contraste sont utilisées et comment cela est influencé par la formation.MéthodesLe volume de produit de contraste a été mesuré chez 1358 patients consécutifs ayant subi un cathétérisme diagnostique et une intervention coronarienne percutanée (ICP) du 31 janvier au 31 mai 2011. Les patients ont été répartis entre l’injection manuelle de produit de contraste par rampe à robinets (1052 patients) et l’injection automatique de produit de contraste (306 patients).RésultatsAucune différence significative dans l’utilisation du volume de produit de contraste n’a été notée entre les systèmes d’injection manuelle ou automatique de produits de contraste, soit : le cathétérisme diagnostique, 72 ± 40 ml vs 96 ± 63 ml (P = 0,08); le cathétérisme diagnostique et l’angiographie ventriculaire gauche, 98 ± 40 ml vs 95 ± 35 ml (P = 0,51); l’ICP, 206 ± 82 ml vs 205 ± 90 ml (P = 0,84); le cathétérisme diagnostique et l’ICP, 264 ± 83 ml vs 253 ± 93 ml (P = 0,51). Aucune différence significative dans l’incidence de la NIPC selon les systèmes d’injection de produits de contraste n’était notée chez les patients subissant une ICP (9,8 % pour l’injection manuelle vs 7,4 % pour l’injection automatique, P = 0,43). L’utilisation de cathéters de plus petits formats durant les interventions diagnostiques était associée à l’injection de plus petites quantités de produits de contraste (P < 0,0001).ConclusionsL’utilisation de l’injection automatique de produit de contraste lors de cathétérisme diagnostique et d’ICP n’est pas associée à une réduction du volume de produit de contraste lorsqu’on la compare à l’injection manuelle. L’utilisation de cathéters de plus petits calibres pourrait réduire le volume de produit de contraste.