Article ID Journal Published Year Pages File Type
2727114 Canadian Journal of Cardiology 2013 5 Pages PDF
Abstract

BackgroundThere is a paucity of data on patient outcomes following in-hospital cardiac arrest (IHCA) on the Internal Medicine clinical teaching unit (CTU). Accurate outcome data enhances discussions between patients, surrogates, and physicians, and assists in their management.MethodsWe performed a retrospective cohort study of consecutive “Code Blue” calls on 2 medical CTUs in a Canadian tertiary centre from January 1, 2003 to June 30, 2007. The medical records of identified patients were screened for eligibility and patient-specific and arrest-specific data were collected for eligible events. Primary outcome was survival to hospital discharge.ResultsOur cohort comprised 83 patients; including 54 (65.1%) men with a mean age of 75 years (range, 38-97). Infection (34.9%) was the principal reason for admission and over half of patients had 3 or more comorbid illnesses. Forty-three (51.8%) of the IHCA events were witnessed. In all, 39 (90.7%) of the witnessed and 36 (90%) of the unwitnessed arrests were pulseless electrical activity (PEA) or asystole (P = not significant). Return of spontaneous circulation occurred in 29 patients (34.9%) and 2 (2.4%) survived to hospital discharge. No patients survived to discharge after unwitnessed arrest.ConclusionsIHCA in Internal Medicine CTU patients is characterized by a high rate of PEA/asystole and a minimal chance of survival to hospital discharge. Moreover, no patient with an unwitnessed arrest survived to hospital discharge. While these findings require confirmation in a larger study, they merit consideration in the context of code status discussions, particularly with respect to the response to unwitnessed arrests.

RésuméIntroductionLes données sur l'évolution des patients à la suite d'un arrêt cardiaque intrahospitalier (ACIH) à l'unité d'enseignement clinique (UEC) en médecine interne sont peu nombreuses. Des données précises sur l'évolution favorisent les échanges entre les patients, les proches et les médecins, et les assistent dans la conduite à tenir.MéthodesNous avons réalisé une étude rétrospective de cohortes pour des appels consécutifs associés au code bleu à 2 UEC médicales d'un centre tertiaire canadien du 1er janvier 2003 au 30 juin 2007. Les dossiers médicaux des patients identifiés ont été examinés pour évaluer l'admissibilité, et des données propres à chacun des patients et à l'arrêt cardiaque ont été recueillies pour les événements admissibles. Le principal résultat a été la survie du patient à la sortie de l'hôpital.RésultatsNotre cohorte de 83 patients comprenait 54 (65,1 %) hommes dont l'âge moyen était de 75 ans (étendue, 38-97). L'infection (34,9 %) a été la raison principale de l'admission, et plus de la moitié des patients ont eu 3 affections comorbides ou plus. Quarante-trois (43; 51,8 %) des ACIH ont été confirmés. Dans l'ensemble, 39 (90,7 %) arrêts confirmés et 36 (90 %) arrêts non confirmés ont démontré une activité électrique sans pouls (AÉSP) ou une asystole (P = non significatif). Le retour à une circulation spontanée est apparu chez 29 patients (34,9 %), et 2 (2,4 %) ont survécu à la sortie de l'hôpital. Aucun patient n'a survécu à la sortie après un arrêt non confirmé.ConclusionsL'ACIH des patients à l'UEC en médecine interne est caractérisé par un taux élevé d'AÉSP ou d'asystole, et d'une chance de survie minime à la sortie de l'hôpital. De plus, aucun patient ayant eu un arrêt non confirmé n'a survécu à la sortie de l'hôpital. Bien que ces conclusions doivent être confirmées par une plus vaste étude, elles méritent d'être prises en considération dans le cadre de discussions sur les codes, particulièrement en ce qui concerne la réponse aux arrêts non confirmés.

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