Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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2727456 | Canadian Journal of Cardiology | 2012 | 6 Pages |
BackgroundCardiovascular (CV) risk stratification remains the cornerstone of preventive cardiology. This study was performed to gain insight into how Canadian primary care physicians (PCPs) incorporate traditional and emerging risk factors in determining risk.MethodsUsing a tested questionnaire, this cross-sectional survey evaluated the perceptions of 846 PCPs (38% response rate) on CV risk assessment, treatment thresholds, and novel biomarkers of vascular risk.ResultsMost physicians (74%) perform CV risk assessment in eligible patients annually with 69% using the Framingham Risk Score (FRS). Although 89% of the physicians knew that FRS estimates 10-year risk of coronary heart disease death and myocardial infarction, 30% could not characterize FRS thresholds for high risk. Only 44% correctly used a positive family history to double the FRS. Waist circumference was considered by 79% of the physicians as a vital sign but only 6% reported measuring this routinely. Carotid ultrasound was identified by 55% as the preferred imaging technique for screening in primary prevention. Although 99% had heard of high sensitivity C-reactive protein (hs-CRP), only 49% measured it for the purposes of assessing CV risk and 27% were unsure under what clinical scenarios the test is indicated.ConclusionsOur survey suggests that FRS is employed by approximately 2/3 of Canadian PCPs for risk stratification. Family history and central obesity are considered important additional CV risk markers. There are substantial knowledge gaps on the appropriate use of family history and hs-CRP in risk stratification, particularly in patients who may not present with hyperlipidemia.
RésuméIntroductionLa stratification du risque cardiovasculaire (CV) demeure la pierre angulaire de la cardiologie préventive. Cette étude a été réalisée pour avoir un aperçu de la manière dont les médecins en soins primaires (MSP) du Canada incluent les facteurs de risque traditionnels et émergents dans la détermination du risque.MéthodesEn utilisant un questionnaire éprouvé, cette enquête transversale évaluait la perception de 846 MSP (taux de réponse de 38 %) sur l'évaluation du risque CV, les seuils de traitement et les nouveaux biomarqueurs du risque vasculaire.RésultatsLa plupart des médecins (74 %) réalisent l'évaluation du risque CV annuellement chez les patients admissibles en utilisant le score de risque Framingham (FRS : Framingham Risk Score) dans 69 % des cas. Même si 89 % des médecins savaient que le FRS estime le risque de mort lié à la maladie coronarienne et à l'infarctus du myocarde à 10 ans, 30 % ne pouvaient déterminer les seuils du FRS à risque élevé. Seulement 44 % utilisaient correctement des antécédents familiaux positifs pour doubler le FRS. La circonférence de la taille était prise en compte par 79 % des médecins comme un signe vital, mais seulement 6 % rapportaient la mesurer de manière routinière. L'échographie carotidienne était définie par 55 % des MSP comme la technique d'imagerie préférée pour le dépistage en prévention primaire. Même si 99 % connaissaient la protéine C-réactive à haute sensibilité (hsCRP : high sensitivity C-reactive protein), seulement 49 % la mesurait aux fins de l'évaluation du risque CV et 27 % étaient incertains de savoir dans quels scénarios cliniques l'analyse était indiquée.ConclusionsNotre enquête suggère que le FRS est utilisé pour la stratification du risque par approximativement les 2/3 des MSP du Canada. Les antécédents familiaux et l'obésité centrale sont considérés comme des marqueurs additionnels importants de risque CV. Il y a des lacunes considérables en matière de connaissance sur l'utilisation appropriée des antécédents familiaux et de la hsCRP dans la stratification du risque, particulièrement chez les patients qui n'auraient pas d'hyperlipidémie.