Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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2727691 | Canadian Journal of Cardiology | 2010 | 4 Pages |
A 58-year-old man presented with frequent episodes of angina at rest. A diagnosis of anterior non-ST elevation myocardial infarction was made. Coronary angiography performed on the day of admission revealed a significant stenosis (50% to 60%) of the distal left main stem (LMS) extending to the ostia of the left anterior descending and left circumflex arteries. Coronary artery bypass graft surgery was advised; however, the patient consistently declined this option. Kissing balloon predilation was performed at the LMS bifurcation, and two stents of the same diameter and length (4.0 mm × 18 mm) were simultaneously deployed at the same high pressure (18 atm) spanning the entire length of the LMS, and extending into the left anterior descending and left circumflex arteries beyond the bifurcation lesion. Six months later, intravascular ultrasound and optical coherence tomography revealed neointimal hyperplasia, especially in the artificial septum.
Un homme de 58 ans a consulté à cause de fréquents épisodes d’angine au repos. Il a obtenu un diagnostic d’infarctus du myocarde sans élévation du segment ST. La coronarographie effectuée le jour de l’hospitalisation a révélé une sténose importante (50% à 60%) de la souche principale gauche (SPG) distale jusqu’aux orifices de l’artère interventriculaire antérieure et de l’artère auriculoventriculaire. Le médecin a conseillé un pontage aortocoronarien, mais le patient l’a refusé à répétition. On a procédé à une prédilatation simultanée à l’aide de deux ballonnets à la bifurcation de la SPG et déployé simultanément deux endoprothèses du même diamètre et de la même longueur (4,0 mm × 18 mm) à la même pression élevée (18 atm) sur toute la longueur de la SPG, qui se sont prolongées dans l’artère interventriculaire antérieure et l’artère auriculoventriculaire au-delà de la lésion de bifurcation. Six mois plus tard, l’échographie intravasculaire et la tomographie par cohérence optique ont révélé une hyperplasie néo-intimale, notamment dans la cloison artificielle.