Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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2727941 | Canadian Journal of Cardiology | 2009 | 4 Pages |
BackgroundDrug-eluting coronary stent implantation emerged as a safe and effective therapeutic approach by preventing coronary restenosis and reducing the need for further revascularization. However, in contrast to bare metal stents, recent data suggest a unique underlying pathology, namely late coronary stent thrombosis and delayed endothelial healing.ObjectiveTo report a case of very late coronary stent thrombosis (834 days after implantation) requiring repeat urgent target-vessel revascularization. Importantly, six days before the acute coronary event, combined nonsteroidal anti-inflammatory drug therapy was initiated.ResultsAlthough a dual antiplatelet regimen was continuously maintained, aggregation measurements indicated only partial antiplatelet effect, which returned to the expected range when nonsteroidal antiinflammatory drugs were omitted.ConclusionsThe observation indicates that, even 834 days after drug-eluting stent implantation, effective combined antiplatelet therapy might be crucial in certain individuals and the possible impact of drug interactions should not be underestimated. Further efforts should focus on the challenging task of identifying patients or medical situations with prolonged, increased risk of stent thrombosis.
HistoriqueL’implantation d’endoprothèses coronaires à élution de médicament a émergé comme une démarche thérapeutique sécuritaire et efficace, car elle prévient une resténose coronaire et réduit la nécessité de revascularisation. Cependant, contrairement aux endoprothèses à métal nu, de récentes données laissent supposer la présence d’une pathologie sous-jacente unique, la thrombose tardive de l’endoprothèse coronaire et le délai de guérison endothéliale.ObjectifDéclarer un cas de thrombose très tardive de l’endoprothèse coronaire (834 jours après l’implantation) exigeant une reprise ciblée et urgente de la revascularisation d’un vaisseau. Fait important, six jours avant l’événement coronaire aigu, le patient avait commencé à prendre une association d’anti-inflammatoires non stéroïdiens.RésultatsMalgré le maintien continu d’une bithérapie antiplaquettaire, les mesures d’agrégation ont indiqué un effet antiplaquettaire partiel seulement, qui ont retrouvé la plage normale après l’arrêt des anti-inflammatoires non stéroïdiens.ConclusionD’après l’observation, même 834 jours après l’implantation de l’endoprothèse à élution de médicament, une thérapie antiplaquettaire combinée efficace pourrait être essentielle chez certaines personnes, et il ne faudrait pas sous-estimer les répercussions possibles des interactions médicamenteuses. Il faudrait se pencher davantage sur la tâche difficile de dépister les patients ou les situations médicales associés à un risque prolongé et accru de thrombose de l’endoprothèse.