Article ID Journal Published Year Pages File Type
2731284 Canadian Journal of Cardiology 2009 5 Pages PDF
Abstract

BackgroundNocturnal blood pressure abnormalities are independently associated with an increased risk of death and cardiovascular disease. It is unclear, however, whether they are related to the presence or severity of hypertension.ObjectivesTo determine and compare the prevalence of sleep pattern disturbances in normotensive (NT) and hypertensive patients.MethodsThe present cross-sectional study assessed the nocturnal blood pressure profiles from 24 h ambulatory blood pressure monitoring of refractory hypertensive (RH) (n = 26), controlled hypertensive (CH) (n = 52) and NT (n = 52) subjects who were matched for age, sex and body mass index. Results are expressed as mean ± SD or proportion, as appropriate.ResultsDuring sleep, the percentage fall in mean arterial pressure was 15.1±6.1% in the NT group, 11.5±7.0% in the CH group and 7.7±7.7% in the RH group (P < 0.0001). The corresponding proportions of nondipping were 25.0%, 42.3% and 61.5%, respectively (P = 0.006), and those of nocturnal hypertension were 9.6%, 23.1% and 84.6%, respectively (P<0.0001). All pairwise comparisons of nocturnal blood pressure fall were significant. The proportion of subjects in the RH group who experienced a rise in nocturnal blood pressure (19.2%) was significantly greater than the proportions in the NT and CH groups (P = 0.001), as was the proportion of subjects with nocturnal hypertension (P<0.0001). There was less extreme dipping in RH, although the difference was not statistically significant (P = 0.08).ConclusionsA significantly higher prevalence of nondipping, nocturnal hypertension and nocturnal blood pressure rising in RH was demonstrated. These sleep disturbances or independently, their cause, may account for the difficulties in attaining blood pressure control.

HistoriqueLes anomalies de la tension artérielle nocturne s’associent de façon indépendante à une augmentation du risque de décès et de maladie cardiovasculaire. Cependant, il n’est pas établi clairement si elles sont liées à la présence ou à la gravité de l’hypertension.ObjectifsDéterminer et comparer la prévalence des perturbations des structures du sommeil chez les patients normotendus (NT) et hypertendus.MéthodologieLa présente étude transversale visait à évaluer les profils de tension artérielle nocturne à partir de la surveillance de la tension artérielle ambulatoire pendant 24 heures chez des sujets hypertendus réfractaires (HR, n = 26), des sujets hypertendus contrôlés (HC, n = 52) et des sujets NT (n = 52) appariés selon l’âge, le sexe et l’indice de masse corporelle. Les résultats sont exprimés à titre de moyenne±ÉT ou de proportion, selon le cas.RésultatsPendant le sommeil, la chute de tension artérielle en pourcentage était de 15,1±6,1 % dans le groupe NT, de 11,5±7,0 % dans le groupe HC et de 7,7±7,7 % dans le groupe HR (P<0,0001). Les proportions correspondantes d’absence de chute étaient de 25,0 %, de 42,3 % et de 61,5 %, respectivement (P = 0,006) et celles d’hypertension nocturne de 9,6 %, de 23,1 % et de 84,6 %, respectivement (P<0,0001). Toutes les comparaisons de chute de tension artérielle nocturne par paire étaient significatives. La proportion de sujets du groupe HR qui avaient subi une augmentation de leur tension artérielle nocturne (19,2 %) était considérablement plus importante que celle des groupes NT et HC (P = 0,001), tout comme la proportion de sujets faisant de l’hypertension nocturne (P<0,0001). Les chutes étaient moins extrêmes chez les HR, mais la différence n’était pas statistiquement significative (P = 0,08).ConclusionsOn a démontré une prévalence considérablement élevée d’absence de chutes, d’hypertension nocturne et d’augmentation de la tension artérielle nocturne chez les HR. Ces perturbations du sommeil ou, indépendamment, leur cause, peuvent expliquer la difficulté à parvenir au contrôle de la tension artérielle.

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