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2731671 Canadian Journal of Cardiology 2015 8 Pages PDF
Abstract

BackgroundConducted energy weapons (CEWs), commonly known as Tasers, are a reputed nonlethal law enforcement weapon. Nevertheless high profile cases have suggested a causal association with cardiac death but the magnitude of any putative risk is unclear.MethodsAn electronic systematic review of all real world, cohort studies of consecutive CEW cases was performed. “Pessimistic” and “optimistic” previous beliefs about CEW mortality were derived from an unbounded internet search, including case series but excluding the previously identified cohort publications. A Bayesian analysis updated these previous beliefs with the published objective cohort data.ResultsPessimistic and optimist previous beliefs with modes of 1/700 and 1/7000, respectively, and upper limits (< 2.5% probability) of 1/100 and 1/1000, respectively, were constructed. Three cohort studies formed the objective data source and their combined mortality was 1 in 2728 cases or 3.67/10,000 (95% confidence interval, 1/107,751 - 1/490). The maximum a posteriori estimated risks of CEW mortality for the pessimistic and optimistic prior distributions were 5.3 and 2.2 deaths per 10,000 exposures, respectively. The upper limits (< 1% probability of occurrence) of the posterior distribution were 1 death per 408 and 982 CEW exposures for the pessimistic and optimistic previous beliefs, respectively.ConclusionsLimited available evidence can be used to construct approximate boundaries for CEW mortality risk and suggests that the population risk of CEW mortality is likely small but not negligible. More high quality data are required to refine these estimates and extreme caution must be exercised before applying these population risks to individual cases.

RésuméIntroductionLes armes à impulsions (AI), communément connues sous le nom de Taser, sont des armes réputées non mortelles par les forces de l’ordre. Néanmoins, des cas très médiatisés ont suggeré un lien de causalité entre le Taser et la mort cardiaque, mais l’ampleur de tout risque putatif n’est pas élucidée.MéthodesUne revue systématique électronique de toutes les études de cohortes réelles de cas consécutifs d’AI a été réalisée. Les croyances « pessimistes » et « optimistes » précédentes sur la mortalité liée à l’AI provenaient d’une immense recherche dans internet, y compris les séries de cas, mais à l’exclusion des publications de cohortes précédemment identifiées. Une analyse bayésienne a actualisé ces croyances précédentes par la publication de données de cohortes objectives.RésultatsLes croyances pessimistes et optimistes précédentes par valeurs dominantes de 1/700 et de 1/7000, respectivement, et limites supérieures (probabilité < 2,5 %) de 1/100 et de 1/1000, respectivement, ont été élaborées. Trois études de cohortes formaient la source objective de données et leur mortalité combinée était de 1 sur 2728 cas ou 3,67/10 000 (intervalle de confiance à 95 %, 1/107 751 - 1/490). Les risques estimés a posteriori maximaux de la mortalité liée à l’AI des distributions pessimistes et optimistes précédentes étaient de 5,3 et de 2,2 morts par 10 000 expositions, respectivement. Les limites supérieures (probabilité de survenue < 1 %) de la distribution postérieure étaient respectivement de 1 mort par 408 et de 982 expositions à l’AI pour les croyances pessimistes et optimistes précédentes.ConclusionsLes rares données probantes disponibles peuvent être utilisées pour établir les limites approximatives du risque de mortalité liée à l’AI et montrent que le risque de mortalité liée à l’AI de la population est possiblement faible, mais non négligeable. Plus de données de haute qualité sont nécessaires pour affiner ces estimations. Il faut également faire preuve d’une grande prudence avant d’appliquer ces risques pour la population à des cas individuels.

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