Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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2732605 | Canadian Journal of Cardiology | 2008 | 4 Pages |
ObjectiveTo determine whether home blood pressure monitoring (HBPM) led to physician-initiated medication titration and improved achievement of target BP levels compared with standard, office-based management.MethodsPhysicians were randomly assigned to a treatment group or a control group. Patients in the control group were monitored by their physician and were drug-adjusted according to the usual approach. In the treatment group, patients were given home BP monitors (UA-767P [A&D Medical/Lifesource, USA]), and drug dosing was adjusted according to HBPM readings and protocol. Long-acting diltiazem (240 mg/day) was added at baseline, which was adjusted as necessary (other medications were added if more than 360 mg/day of diltiazem was required). A final BP measurement was taken in the office after six weeks.ResultsNineteen physicians were randomly assigned to the office BP monitoring group and 34 were assigned to the HBPM group. Of the 270 subjects recruited, 97 were in the office BP monitoring group and 173 were in the HBPM group. From baseline to the final visit, there was a statistically significant time by group interaction with lower BP in the HBPM group (P = 0.034 for both systolic BP and diastolic BP). BP fell from 159/91 ± 11/10 mmHg at baseline in the HBPM group to 138/80 ± 13/8 mmHg on the final visit, and from 160/88 ± 14/10 mmHg to 141/78 ± 10/9 mmHg in the control group.ConclusionsBP was lowered significantly in both groups, and to a statistically greater degree in the HBPM group. The Hawthorne effect might have led to altered care by the physicians with improvement in BP control in both groups.
ObjectifDéterminer si la surveillance de la tension artérielle à domicile (STAD) a entraîné le titrage de médicaments par les médecins et amélioré le traitement pour obtenir les taux ciblés de TA par rapport à la prise en charge classique en cabinet.MéthodologieLes médecins ont été divisés au hasard entre le groupe traité et le groupe témoin. Les patients du groupe témoin étaient surveillés par leur médecin, qui rajustait leur médication de la manière habituelle. Dans le groupe traité, les patients recevaient un tensiomètre portatif (UA-767P [A&D Medical/Lifesource, États-Unis]), et la dose des médicaments était rajustée d’après les lectures et le protocole de la STAD. Du diltiazem à action prolongée (240 mg/jour) était ajouté au départ et rajusté au besoin (d’autres médicaments étaient ajoutés s’il fallait administrer plus de 360 mg/jour de diltiazem). On prenait une dernière mesure de la TA en cabinet au bout de six semaines.RésultatsDix-neuf médecins ont été placés au hasard dans le groupe de surveillance de la TA en cabinet, et 34 dans le groupe de STAD. Des 270 sujets recrutés, 97 faisaient partie du groupe de surveillance de la TA en cabinet et 173, du groupe de STAD. De la première à la dernière visite, on a constaté un temps d’interaction statistiquement significatif par groupe, la TA étant plus basse au sein du groupe de STAD (P = 0,034, à la fois pour les TA systolique et diastolique). La TA a chuté de 159/91 ± 11/10 mmHg à la première visite à 138/80 ± 13/8 mmHg à la dernière visite au sein du groupe de STAD, et de 160/88 ± 14/10 mmHg à 141/78 ± 10/9 mmHg au sein du groupe de surveillance de la TA en cabinet.ConclusionsLa TA a diminué considérablement dans les deux groupes, et à un degré statistiquement significatif dans le groupe de STAD. L’effet Hawthorne peut avoir modifié les soins administrés par les médecins de manière à améliorer le contrôle de la TA dans les deux groupes.