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3222787 African Journal of Emergency Medicine 2011 7 Pages PDF
Abstract

ObjectivesSouth Africa has a lack of advanced life support (ALS) paramedics in full-time operational practice within the pre-hospital and inter-hospital fields. This is due at least in part to the departure of experienced ALS paramedics from operational practice. It is therefore important to identify and understand the factors that cause this departure in order to positively alter them.MethodsThis study was a cross-sectional on-line survey conducted over 28 days. South African ALS paramedics were invited by e-mail to complete an on-line questionnaire consisting of 64 questions, including sections on demographics, reasons for leaving operational practice, current satisfaction levels and willingness to return to operations.ResultsOf 318 registered ALS paramedics with valid e-mail addresses, a response rate of 52% (166) was observed. Top respondent groups were whites, critical care assistants and those operational in Gauteng. The top five reasons for leaving operational practice were related to remuneration, a lack of control of workplace dynamics, inadequate opportunities for promotion, poor organisational communication and poor benefits. The paramedics’ current, or post-operational, satisfaction levels (in earning, time, stress and career development) were higher than when operational. Sixty-five percent of respondents were willing to consider returning to operational practice if the above issues were addressed.ConclusionWhilst the job of an ALS paramedic is difficult and demanding, it was not operational factors that appeared to cause the majority of ALS paramedics to leave operational practice, but rather organisational and career-based factors. These factors should be addressed in order to improve job satisfaction, with the objective of retaining more operational paramedics for longer.

IntroductionL’Afrique du Sud manque d’auxiliaires médicaux en charge des soins avancés de réanimation (SAR) en astreinte opérationnelle à plein temps dans les domaines préhospitaliers et interhôpitaux. Cela est dû au moins en partie à la démission d’auxiliaires médicaux expérimentés en charge des SAR de l’astreinte opérationnelle. Il est donc important d’identifier et de comprendre les facteurs responsables de cette démission afin d’y remédier.MéthodesCette étude consistait en une étude transversale, en ligne, réalisée sur 28 jours. Des auxiliaires médicaux sud-africains en charge des SAR ont été invités, par email, à remplir un questionnaire en ligne consistant en 64 questions, incluant des sections sur les données démographiques, les raisons de leur démission de l’astreinte opérationnelle, les niveaux de satisfaction actuels et la disposition à retourner aux astreintes opérationnelles.RésultatsSur les 318 auxiliaires médicaux en charge des SAR enregistrés et disposant d’une adresse email valide, 166 ont répondu, soit un taux de réponse de 52%. Les principaux groupes ayant répondu étaient les Blancs, les assistants de soins intensifs et les groupes exerçant dans le Gauteng. Les cinq principales raisons expliquant la démission de l’astreinte opérationnelle étaient liées à la rémunération, au manque de contrôle des dynamiques sur le lieu de travail, aux opportunités d’avancement inadéquates, à une mauvaise communication organisationnelle et à de faibles avantages. Les niveaux de satisfaction actuels ou de post-astreinte des auxiliaires médicaux (en termes de rémunération, temps, stress et évolution de carrière) étaient plus élevés que lorsqu’ils étaient d’astreinte. Soixante-cinq pour cent des sondés étaient prêts à envisager un retour à l’astreinte opérationnelle si les problèmes susmentionnés étaient résolus.DiscussionBien que le travail d’auxiliaire médical en charge des SAR soit difficile et exigeant, ce n’étaient pas des facteurs opérationnels qui avaient poussé la majorité des auxiliaires en charge des SAR à démissionner de l’astreinte opérationnelle, mais plutôt des facteurs organisationnels et liés à la carrière. Ces facteurs doivent être traités si l’on veut améliorer la satisfaction au travail, dans l’objectif de retenir davantage d’auxiliaires médicaux opérationnels plus longtemps.

We surveyed advanced life support paramedics who had left operational practice. We asked about factors influencing their decision to leave. Top–rated factors involved remuneration and lack of promotion. Addressing organisational factors may help retain paramedics in operational practice.

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